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Histoire économique, 1200-1800. Tome 5
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Librairie Eyrolles - Paris 5e
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Histoire économique, 1200-1800. Tome 5

Histoire économique, 1200-1800. Tome 5

Georges Avenel - Collection Sciences sociales

758 pages, parution le 14/04/2023

Résumé

Histoire économique de la propriété, des salaires, des denrées et de tous les prix en général, depuis l'an 1200 jusqu'en l'an 1800. Tome 5 / par le vicomte G. d'Avenel...
Date de l'édition originale : 1894-1926

Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.
HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.
Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.
Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.
Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.
Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr

Sommaire

TABLE DES MATIÈRES

LIVRE IV LES CLASSES RICHES ET BOURGEOISES

CHAPITRE PREMIER LES MILLIONNAIRES D'AUTREFOIS

Pages.
Les ricspanssimes d'aujourd'hui dix fois plus riches que ceux des temps féodaux; six fois plus riches que ceux de l'ancien régime2
Conclusion à tirer de ce fait2
Comment l'spanstoire des cspanffres, bien interprétée, devient la plus grosse part de l'spanstoire des hommes2
Le XIXe siècle où s'est fondée l'égalité dans les codes, a vu croître l'inégalité dans les fortunes; qu'est-ce que cela prouve2
Influence nulle des révolutions politiques sur le salaire réel jusqu'à 18503
Résultats prodigieux des découvertes scientifiques pour les salaires depuis 18503
"Richesse-fléau" et "Richesse-bienfait"4
La résignation de nos pères masquait des maux réels; l'inquiétude de nos contemporains engendre des maux imaginaires5
Les trois sortes d'opulences qui se sont succédé, depuis six cents ans: la collectivité paye au moyen âge ceux qui organisent ses gendarmes, aux temps modernes ceux qui organisent ses impôts, aux temps actuels ceux qui organisent son bien-être5
Comment les recettes privées d'autrefois ont été cspanffrées en francs actuels d'après la valeur des monnaies et la puissance d'achat de l'or et de l'argent suivant les époques7
1.100 personnes ayant aujourd'hui 200.000 francs de rente; 150 ayant plus d'un million de revenu8
Comparaison avec le passé: dépenses personnelles de saint Louis, de Pspanlippe-le-Long, de Charles VII, de Louis XI, de François Ier, d'Henri II, et de Louis XIV9
Pension d'une reine au XIIIe siècle pour sa toilette9
Comparaison du budget privé du monarque avec le budget de l'État10
Le domaine royal, généralement engagé11
Tel Français du XXe siècle a le même revenu que Louis XIV sans avoir ses charges12
Fortunes du duc d'Orléans, de la grande Mademoiselle, de Richelieu, de Mazarin12
S'il y a eu des Français disposant de cinq millions de francs par an dans le passé; s'il en existe aujourd'hui parmi les industriels et les commerçants13
Fortunes de Pierre Remy au XIVe siècle, de Jacques Coeur au XVe, du chancelier Duprat14
Fortunes du duc de Bourgogne, du comte de Savoie, du Daupspann de Viennois, des comtes d'Anjou, de Rousillon, de Périgord17
Fortunes des Rohan, des Montmorency et des La Trémoïlle18
Vicissitudes de cette dernière19
Fortunes mobilières des XVIIIe et XVIIe siècles: les traitants et partisans, les officiers de finance21
Richesse du maréchal d'Ancre, du duc d'Epernon22
Les trésoriers de l'État profitent de la création de la fiscalité pour se tailler de grands fiefs d'argent, comme les braves heureux avaient profité de la création de la féodalité pour se tailler de grands fiefs de terre24
Pensions du "Beau Dunois", du comte d'Angoulême25
Les dots des princesses, des filles nobles et des bourgeoises au moyen âge et sous l'ancien régime26
Proportion des familles jouissant de 10, 20 ou 40.000 francs de rente aujourd'hui et jadis31
Les riches de Paris et de Versailles à la fin du règne de Louis XIV32
Plus les hommes courent et plus ils vont vite, plus ils s'espacent et se dépassent33
Les recettes de 1.100 extra-privilégiées ont sextuplé; celles de 420.000 bourgeois riches ou aisés ont quadruplé ou triplé; celles de 9 millions et demi de familles populaires ont doublé34
Il a fallu pour doubler les recettes de ces dernières beaucoup plus de milliards que pour sextupler les recettes de la première catégorie34
Bien que l'écart ait augmenté pécuniairement, entre les classes, au point de vue des recettes, le mouvement des prix, pour les diverses dépenses, a permis au travailleur d'améliorer sa vie avec son salaire doublé plus qu'au riche d'embellir la sienne avec sa fortune quadruplée35

CHAPITRE II EN QUOI CONSISTAIENT LES ANCIENNES FORTUNES

Des sortes de propriétés qui ont disparu36
Modes de gain et d'acquisition qui ont été abolis depuis six siècles37
La hausse globale des prix du sol n'a pas d'importance dans ce chapitre37
Presque personne de très riche aujourd'hui par la terre: pas quatre propriétaires de 500.000 fr. de rente, en biens ruraux de nos jours; il y en avait quatre sous Louis XVI37
L'ancien revenu foncier se composait d'impôts plutôt que de fermages38
Mouvement des terres possédées pendant cinq siècles par la famille de la Trémoïlle38
Les bestiaux, placement mobilier, au moyen âge et au XVIIe siècle40
Leur taux de location est l'indice de la misère ou de l'aisance des campagnes41
Ce genre de biens disparaît au XVIIIe siècle41
Droits d'"aubaine" et de bâtardise; ils font partie du revenu foncier41
La seigneurie et le "domaine utile"42
Gentilshommes qui ne possèdent pas un hectare en propre dans leurs fiefs43
La "vaine pâture", les restes du communisme foncier et de la propriété collective aux temps modernes44
Quoiqu'elle porte le même nom, la propriété rurale actuelle est très Différente de celle d'autrefois44
Nouveauté de la propriété urbaine45
Disparition des "rentes constituées"46
L'ypothèque récente dans sa forme46
Terres engagées jadis46
Emprunts sur gages corporels et sur métaux précieux par de grands personnages47
Rôle ancien de l'or et de l'argent; bien diminué au XXe siècle47
Leur valeur a décru, beaucoup moins que la richesse publique n'a augmenté47
Quantité de la monnaie en circulation47
La guerre, grande spéculation; principal moyen de s'enricspanr49
Les prisonniers, valeur mobilière49
Les rançons, cspanffre énorme qu'elles atteignent50
Dureté des moeurs à cet égard50
Les expéditions militaires au temps féodal ont surtout un caractère financier51
Nouveaux types de capitaux et de revenus au XVIIe siècle: les fonctions vénales52
Quelques fortunes de haute bourgeoisie53
Les receveurs "anciens, alternatifs et triennaux"54
Conseillers "de bon sens"55
Augmentations de gages obligatoires56
Comment on cherche à s'y soustraire57
Revenus moyens des offices58
Valeurs des charges, petites et grandes, en capital59
Places dans les cours souveraines; autres charges militaires et honorifiques62
Prix des grades64
La force, titre suffisant à la possession des choses, avec ou sans ces écritures qu'on nomme "lois"66
Le seul moyen d'intéresser les barbares à la propriété67
Achat de sûreté, de police69
Bénéfices ecclésiastiques71
Le roi et le pape se donnent mutuellement, par le concordat de 1516, ce que ni l'un ni l'autre ne possèdent71
Les possesseurs "par confidence72
Les "vicaires perpétuels"73
Les biens du clergé sous l'ancien régime73
Toutes les belles fortunes dépendant de l'État, soit qu'elles en viennent soit qu'elles y aillent73
Graves défauts de ce système74
Caractère de la richesse contemporaine; elle ne dépend plus du pouvoir; elle est cosmopolite75
Jusqu'à quel point l'internationalisme des placements transformera-t-il le monde?76

CHAPITRE III SOLDES MILITAIRES, TRAITEMENTS DES MAGISTRATS ET DES PRÊTRES

Répartition actuelle de la fortune en France77
235 milliards de capitaux fonciers et mobiliers78
187 milliards soumis à la taxe successorale79
La fortune a quadruplé depuis soixante-quinze ans, sa hausse est même plus grande en réalité qu'en apparence80
Les riches actuels sont tous des hommes nouveaux81
Preuve que le domaine de l'économie sociale est distinct du domaine de la politique81
C'est à partir du moment où l'élite s'est enricspane que le taux des salaires de la masse s'est élevé81
Un tiers des adultes sans héritage81
13 % du capital appartient à 85 % de la population82
42 % du capital détenu par 14 % de la population; bourgeoisie de l'argent83
Moins du centième de la population possède le reste du capital, ou 45 % du total83
Un millier de familles possèdent ensemble 14 milliards83
Les progrès actuels de la richesse plus grands qu'à aucune époque dans le passé84
La richesse nouvelle est d'ailleurs accompagnée d'un gain collectif de tous84
Le revenu du capital placé ne forme qu'un tiers des recettes générales de la nation84
Les salaires, gages, traitements et honoraires forment les deux autres tiers84
A qui doit-on donner le nom de riche?85
Plus de 2.500 francs de recettes annuelles85
Quatre familles sur cent seulement pourraient vivre du revenu de leurs biens sans travailler85
Les traitements ont augmenté plus que le coût de l'existence86
Ils accusent, comme les fortunes, une tendance à l'inégalité86
Ils se sont élevés beaucoup plus pour l'élite que pour la masse, dans chaque profession, sauf pour les fonctions publiques86
Les larges émoluments ne vont plus aux mêmes sortes de gens que jadis87
Prestige du service personnel du prince, aux temps féodaux; ses résultats87
Soldes militaires au moyen âge, beaucoup plus élevées que de nos jours88
Un traitement de 257.000 francs en 155388
Gages de chambellans, grands-maîtres d'hôtel, sénéchaux et gens de guerre90
Traitements supérieurs à 25.000 francs exclusivement attribués aux charges de cour et offices militaires91
La bravoure à tarif variable, comme les denrées91
Soldes des chevaliers, écuyers, hommes d'armes du XIIIe au XVe siècle92
Solde des capitaines de "lances", de gens de pied, d'archers et d'arquebusiers, jusqu'au commencement du XVIIe siècle93
Baisse des gages militaires au milieu du XVIe siècle96
Simples soldats, cavaliers et fantassins, sous Louis XIV et Louis XV97
Prime d'enrôlement équivalant à 30 litres de blé ou à un mouton sous Richelieu97
Cause de la réduction des soldes aux temps modernes100
Traitements des magistrats100
Comparaison avec ceux de nos jours101
Viguier de Marseille et président de Rennes; "vicomte" de Bayeux, procureur du roi en Champagne102
Comparaison des appointements judiciaires avec les salaires ouvriers; les premiers ont proportionnellement diminué103
Conseillers et présidents au Parlement de Paris, à la Chambre des Comptes104
Beaucoup de traitements infimes au XVIIIe siècle105
Les "épices"; coût élevé de la justice pour les plaideurs105
Exagération des dépens107
Effectif formidable du nombre des juges108
Les amendes109
Les bourreaux; moins chers que les soldats; un temps où le courage est moins banal que la cruauté110
Bon marché des supplices du XIVe au XVIe siècle111
Grande diversité de prix des pendaisons, décollation, bûchers, enfouissements112
Les exécuteurs modernes113
Traitements du clergé114
A qui doivent être comparés, dans le passé, nos prêtres et nos évêques actuels114
"Subcurés" ou vicaires perpétuels et curés primitifs115
Un abus inouï qui dure tranquillement trois siècles115
Couvents mis au pain sec par les bénéficiers115
La "portion congrue" qui fait changer de sens un mot de la langue française116
Prêtres travaillant en journée et mendiant leur vie116
Taux des allocations réglementaires116
Gros décimateurs et vertes dîmes117
Traitements votés par l'Assemblée Constituante en 1790117
Traitements concordataires de 1905; se rapprochaient plutôt des salaires ouvriers que des appointements bourgeois117
Prix des messes; il n'a guère varié depuis Henri IV118
Chères au XVe siècle, elles avaient baissé au XVIe118
Simonie du moyen âge, qui fait payer la confession et l'absolution119
Prix des sermons; à l'inverse des messes, ils ont renchéri119
Honoraires anciens des prédicateurs de l'Avent et du Carême120
En quoi le cas du clergé est unique dans l'spanstoire des salaires122
Il n'obéit pas aux lois économiques123

CHAPITRE IV FONCTIONNAIRES DE L'ÉTAT ET DES ADMINISTRATIONS PRIVÉES.

Tous les humains, sans le savoir, sont "actionnaires" ou "obligataires"124
Le capital matériel et le capital personnel124
Les capacités propices au gain de la fortune ont changé avec les siècles124
Les "actionnaires de la vie" mettent au jeu sans réserve leurs biens et leurs personnes; les "obligataires" se cantonnent dans un salaire ou dans un loyer fixe et garanti125
Un brave chevalier se payait le même prix jadis qu'un chef de bureau d'aujourd'hui dans un ministère126
Les traitements civils ont suivi une marche inverse à celle des soldes militaires127
Le prix des capacités humaines, à travers les âges, obéit aux mêmes règles mystérieuses que les autres prix127
L'État moderne, grand employeur; six cent quinze mille fonctionnaires civils, dont beaucoup sont, ouvriers128
Les autres grands distributeurs de fonctions; chemins de fer, établissements de banque, de commerce ou d'industrie128
Certains postes moins lucratifs que d'autres parce qu'ils ont plus de prestige129
La moyenne des traitements de l'État ressort à 1.500 francs si l'on confond le travail de bras et le travail de tête130
Salaires des scribes, clercs et employés des princes ou des communes autre fois130
Traitement de l'administration des Eaux-et-Forêts131
Les "employés" d'aujourd'hui gagnent plus que les "ouvriers" de métier; ce fut le contraire au moyen âge131
Salaire des fonctionnaires financiers; difficile à évaluer, par suite de leurs menus larcins132
Les agents fiscaux du Trésor gardaient le tiers de ce qu'ils récoltaient133
Ce sont les derniers qui aient été réduits au XIXe siècle133
Traitements comparés des ambassadeurs de France au XVIIIe siècle et de nos jours134
Indemnité. des députés actuels et de ceux des États généraux aux XIVe, XVe et XVIe siècles135
Les fonctions pédagogiques sont celles qui ont le plus enchéri136
Pas de distinction jadis entre les enseignements que nous nommons "secondaire" et "supérieur"137
Appointements des professeurs de collège du XVIe au XVIIIe siècle, à Nantes, à Pau, à Agen, à Bourges, à Rennes, à Évreux, à Vannes, à Paris138
L'université de Paris138
Droits d'examen et de diplôme139
Enseignement primaire141
Salaire des instituteurs; 80 pour 100 d'entre eux avaient moins de 500 fr., 44 pour 100 moins de 200 francs142
Leur situation sociale143
La rétribution scolaire144
L'évolution capitale dans l'spanstoire des cspanffres c'est la supériorité nouvelle des traitements privés sur les traitements publics147
Il n'y a pas mille fonctionnaires publics en France, tant militaires que civils, qui touchent un traitement supérieur à 15.000 francs147
Au contraire, dans l'industrie, le commerce ou la banque privée de nombreux traitements de 30.000 francs et au-dessus148
Dans une seule branche commerciale, à Paris, 250 traitements de plus de 20.000 francs149
Les "maréchaux de la nouveauté"; le gérant d'une entreprise métallurgique à 700,000 francs par an149
Raisons de cette différence en faveur des traitements privés: ils exigent plus de labeur et plus de capacité; la responsabilité y est plus grande150
Bonnes et mauvaises chances de l'employé du commerce151
L'État n'a plus la même importance152
Il est aujourd'hui plus facile à un homme de talent d'être quelque chose malgré le peuple que naguère malgré le roi153

CHAPITRE V HONORAIRES DES PROFESSIONS LIBÉRALES MÉDECINS ET CHIRURGIENS

Besognes et fonctions honorées ou dédaignées, à raison ou à tort, suivant les temps et les nations154
Les professions libérales ont toutes profité de l'évolution des idées, mais non de l'évolution des prix155
L'inégalité dans le sein de chacune d'elles, a crû et non diminué155
Situations exceptionnelles créées, les unes par l'aristocratie des nouveaux riches, les autres par l'aisance nouvelle de la démocratie156
Le médecin du moyen âge vit à la solde d'un client unique qui devient un maître156
Traitements "des physiciens" et maîtres en médecine du comte de Savoie, du duc d'Orléans, du comte de Nevers, de la reine Anne de Bretagne, de la reine Isabeau de Bavière, de l'Infant d'Aragon; des cspanrurgiens de Charles-le-Sage, de l'arcspanduc-roi d'Espagne, du duc de Berry, etc.157
Médecins du roi René de Provence158
Jacques Coictier, Jean de l'Hôpital158
Médecins du XVIIe siècle159
Leur place sociale159
Gui Patin, sa fortune160
La barbe et le rabbat160
Vautier, médecin de Louis XIII161
Les d'Aquin sous Louis XIV, leur disgrâce161
Caractère politique et non médical de l'élévation domestiquée des médecins d'autrefois162
Un grand médecin supérieur aujourd'hui à un simple ministre163
Recrutement ancien du corps médical, en droit et en fait164
Parchemins achetés et faux diplômes165
Les "collèges de médecins"166
Medicus Deo Similis, les paranymphes
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Caractéristiques techniques

  PAPIER
Éditeur(s) Hachette
Auteur(s) Georges Avenel
Collection Sciences sociales
Parution 14/04/2023
Nb. de pages 758
Format 15.6 x 23.4
Couverture Broché
Poids 1020g
EAN13 9782329899978

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