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Histoire économique de la propriété, des salaires, des denrées
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Librairie Eyrolles - Paris 5e
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Histoire économique de la propriété, des salaires, des denrées

Histoire économique de la propriété, des salaires, des denrées

Et de tous les prix en général, 1200-1800. tome 3

Georges Avenel - Collection Sciences sociales

726 pages, parution le 01/03/2020

Résumé

Histoire économique de la propriété, des salaires, des denrées et de tous les prix en général, depuis l'an 1200 jusqu'en l'an 1800. Tome 3 / par le vicomte G. d'Avenel...
Date de l'édition originale : 1894-1926

Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.
HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.
Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.
Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.
Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.
Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr

Sommaire

TABLE DES MATIÈRES

LIVRE III LES SALAIRES

CHAPITRE PREMIER SALAIRES DES PAYSANS ET DES DOMESTIQUES DE 1200 A 1525.

  • Pages.
  • Par quel moyen peut être amélioré le sort des classes laborieuses1
  • Le témoignage du passé, en ces matières, mérite d?être entendu2
  • L'spanstoire des salaires est proprement l'spanstoire de la "question sociale"3
  • Distinction entre la civilisation morale et le bien-être matériel4
  • Le serf du moyen âge, comparé à cet égard au sujet de l'ancien régime et à l'ouvrier libre d?aujourd?hui5
  • Valeur de la journée du manoeuvre, mesure universellement admise du prix du travail8
  • Au XIIIe siècle, peu de domestiques indépendants, peu de laboureurs ou d?ouvriers payés en argent8
  • Services fieffés; le féodalisme a tout envaspan8
  • Les contrats de ce genre sont résiliés plus tard; le mouvement continuel des prix empêchait ces salaires immuables de satisfaire longtemps les seigneurs et les vassaux9
  • Le travail fiessé est alors très largement rémunéré11
  • La terre qui enforme le prix a déjà augmenté depuis la concession originaire12
  • Le travail libre est lui-même bien payé au XIIIe siècle12
  • Gages des moissonneurs, laboureurs, vendangeurs, et des manoeuvres de toutes catégories, dans les diverses provinces13
  • Salaires au xive siècle jusqu?à 1375, par rapport à ce qu?ils sont de nos jours14
  • Traitement des journalières nourries et non nourries aux mêmes dates15
  • Ce qui serait advenu des salaires au xive siècle, sans la guerre de Cent ans16
  • Hausse considérable des prix du travail des deux sexes au xve siècle, à mesure que le pays se dépeuple17
  • Rétribution des ouvriers agricoles de 1376 à 152517
  • Paye des journalières19
  • Le nombre des journées de travail n?était, au moyen âge, que de 250 par an20
  • Une preuve de ce fait est tirée de la comparaison du salaire quotidien des manoeuvres nourris avec les gages annuels des domestiques de ferme21
  • Rapport quia dû exister de tout temps entre ces deux rémunérations21
  • Gages des domestiques à la campagne: charretiers, valets de charrue, porchers, bergers, etc., de 1200 à 152522
  • Ils s?habillent à leurs frais, ainsi que de nos jours24
  • Domesticité des enfants au XVe siècle,26
  • Comparaison des salaires moyens du journalier et du serviteur rural de 1200 à 1525, avec leur salaire de 189727
  • De 1478 à 1525 la situation du premier est pécuniairement meilleure qu?elle n?est aujourd?hui; celle du second est presque aussi bonne27
  • Gages du domestique citadin, ou attaché à la personne de son maître29
  • Il est moins payé que celui des champs, si l'on excepte les valets de chambre des seigneurs, et les emplois spéciaux de cuisinier, cocher, forestier, portier, etc30
  • Traitement des domestiques femmes à la campagne et à la ville: chambrières, filles de basse-cour, femmes-de ménage, cuisinières, nourrices32
  • Ces gages suivent les mêmes fluctuations que ceux des hommes33
  • Comparaison de ceux de la servante avec ceux de la journalière nourrie; ces derniers sont proportionnellement beaucoup plus élevés34
  • Rapprochés de leurs appointements actuels, ceux des servantes des XIVe et XVe siècles sont inférieurs de moitié et doeun tiers35
  • Rapport très variable du salaire des hommes à celui des femmes, de 1200 à 160035

CHAPITRE II SALAIRES DES PAYSANS ET DES DOMESTIQUES DE 1525 A 1600.

  • Diminution des salaires au XVIe siècle38
  • De l'avènement de François Ier à celui d?Henri IV la paie du manoeuvre se réduit de moitié39
  • Comparé au moins fortuné de ses ancêtres, le journalier de 1576-1600 reçoit un salaire inférieur doeun tiers39
  • Détail des rémunérations quotidiennes des faucheurs, laboureurs, vendangeurs, terrassiers, bûcherons, etc., dans les diverses provinces, de 1526 à 160039
  • Le XVIe siècle marque le triomphe des propriétaires fonciers et la déroute des travailleurs41
  • Valeur respective du travail et de la terre, depuis le XIIIe siècle41
  • La baisse des salaires atteint les domestiques autant ou plus fortement que les journaliers42
  • Cette dépression des gages est lente et régulière42
  • Médiocrité des salaires des femmes43
  • Les servantes ont été les privilégiées de la civilisation moderne43
  • Baisse de la paye des journalières, analogue à celle des manoeuvres44
  • Tarif de la journée des vignerons et jardiniers depuis 1200 jusqu?à 160044
  • Il subit au XVIe siècle la dépréciation générale44
  • Prix payés pour la culture des vignes à la tâche44
  • Les maxima sont atteints au commencement du XVe siècle45
  • Valeur des autres travaux agricoles, exécutés à façon, de 1200 à 1600 battage des grains, labourage des terres, fauchage de l'herbe ou des blés, etc46
  • Tous sont beaucoup plus chers durant la période de 1200 à 1525 que de 1525 à 160047
  • Avantages matériels que la force des choses, au moyen âge, avait procurés au paysan: droits doeusage dans les forêts49
  • Gratuité presque absolue du bois, pour le chauffage, la construction, les meubles, etc51
  • Droit de vaine pâture; jouissance banale de presque tout le territoire pendant une partie de l'année51
  • Vérité ancienne de la loi de Malthus51
  • Cspanffre infime des redevances forestières51
  • On défriche encore à la fin du XIVe siècle en incendiant des forêts52
  • Bas prix de certaines superficies boisées au XVIe siècle53
  • Empiètements ordinaires des paysans riverains sur les bois56
  • Bornes qu?on oppose, à partir de 1550, à la déperdition des arbres57
  • Traditions du communisme foncier dans les campagnes59
  • Différences entre la propriété complète du bétail et la propriété limitée du sol59
  • Le possesseur doeune prairie n?en jouit que de mars à juillet, chaque année60
  • Préjugés relatifs à la nécessité des pâtures banales62

CHAPITRE III SALAIRES DES PAYSANS ET DOMESTIQUES DE 1600 A 1800.

  • Dépossédé au XVIe siècle du bien-être matériel, le paysanne le recouvrera plus jusqu?à la Révolution64
  • Subventions sociales65
  • Propriétés des non-propriétaires66
  • Difficulté pour le campagnard de conserver ses anciens droits doeusage et de vaine pâture67
  • Opinion du XVIIe siècle à ce sujet68
  • C?est par des procès que ces droits ruraux se révèlent désormais à l'spanstorien68
  • On reproche aux usagers d?abuser69
  • La forêt royale ou particulière cesse d?être à la disposition du premier venu70
  • Le prix croissant des bois amène cette révolution70
  • Usages de Taulignan, en Daupspanné, de Mortagne, en Saintonge71
  • Les habitants s?opposent au cantonnement72
  • Les litiges qui surgissent à la fin de l'ancien régime se terminent au profit général de l'agriculture et au préjudice particulier des usagers74
  • Même transformation dans la vaine pâture75
  • On mangera moins de viande, il faut avant tout du pain75
  • Défense de l'ancien état de choses par les paysans au XVIIe siècle,77
  • Au XVIIIe siècle commence la lutte de la vaine pâture avec la prairie artificielle78
  • Défrichement des landes; action du gouvernement79
  • Le droit de parcours n?a été légalement aboli qu?il y a quelques années80
  • Les bestiaux livrés à l'alimentation sont plus gras sous Louis XVI que sous Louis XIV et Henri IV80
  • Dans les dernières années de l'ancien régime le salaire montre une tendance marquée à décroître81
  • Paye réelle du journalier au commencement du XVIIe siècle; elle est plus élevée qu?à la fin du siècle précédent81
  • Elle diminue sous Richelieu et Mazarin et s'améliore de 1676 à 170082
  • Tarif des journées dans les diverses provinces82
  • Le prix du travail baisse intrinsèquement au début du XVIIIe siècle et sous le ministère de Fleury; relativement au prix des denrées il s?élève83
  • Prospérité du travailleur en 1726-1760, offrant quelque analogie avec celle qui marque la fin du XVe siècle85
  • Jamais la condition du manoeuvre n?a été pire ni la terre mieux cultivée qu?en 1776-179087
  • Laboureurs, vendangeurs, moissonneurs, ouvriers agricoles de 1701 à 180087
  • La misère du XVIIIe siècle vient de l'excès de population88
  • Evaluations, exagérées cependant, de certains caspaners de doléances88
  • Dans lepremier tiers du XIXe siècle, les salaires étaient demeurés très bas88
  • Gages des domestiques de ferme, valets de labour, vachers, charretiers, etc., de 1600 à 180089
  • Ce qu?on doit penser des salaires portés aux enquêtes de 1792, 1793, comme ayant été usités en 179090
  • Traitement des domestiques d?intérieur, à la ville et à la campagne (cuisiniers, cochers, portiers, etc.)91
  • Ces domestiques ne sont pas meilleurs que ceux de nos jours; légendes sans fondement à cet égard94
  • Le simple journalier était plus heureux que le domestique96
  • Rapport du salaire de loeun avec les gages de l'autre de 1600 à 1800, comparés à ce qu?ils étaient au moyen âge et à ce qu ils sont de nos jours97
  • Enseignement que l'on peut tirer de la hausse des gages de la domesticité, de 1789 à 189798
  • Hausse du salaire des journaliers99
  • La moindre durée de travail des journaliers d?il y a cent ans n?était pas un avantage99
  • Salaire des femmes; il a subi des fluctuations en rapport avec celui des hommes100
  • Paye des journalières; gages des servantes100
  • "L'anse du panier" au XVIIe siècle102
  • Chambrières, filles de cuisines, nourrices102
  • Travaux agricoles exécutés à la tâche104
  • Leurs prix successifs confirment les appréciations basées sur les salaires104
  • Battage des grains à façon; labourage des terres; fauchage des blés et de l'herbe105

CHAPITRE IV SALAIRES DES OUVRIERS DE MÉTIER DE 1200 A 1600.

  • Influence des corporations sur le salaire des ouvriers de métier108
  • Intérêt actuel de la question109
  • Les résultats des associations et des privilèges ont été nuls, au moyen âge109
  • Le prix du travail n?en a pas été affecté110
  • La proportion a été la même autre fois qu?aujourd?hui entre le salaire des journaliers ruraux et celui des ouvriers; elle a été la même entre les salaires des divers métiers110
  • La paye des mêmes corps d?état était semblable dans les villes libres et dans les villes monopolisées111
  • Inanité des efforts des pouvoirs publics en cette matière112
  • Le communisme corporatif n?en eut pas moins, à d?autres égards, de graves inconvénients112
  • Variété de la réglementation du commerce et de l'industrie selon les localités113
  • Sens exact du mot "maître-maçon" du XIIIe au XVIe siècle113
  • Journées des maçons (maîtres, ouvriers, aides, apprentis) dans les diverses provinces114
  • Leurs fluctuations sont les mêmes que celles du salaire des manoeuvres115
  • Conséquence de la rareté des bras au XVe siècle115
  • La pléthore et la disette passagère d?ouvriers de certains corps d?état ne peut être attribuée aux corporations116
  • La baisse des salaires réels, à la fin du XVIe siècle, est aussi grande dans les métiers jurés que dans les autres120
  • Journée des maçons, considérée comme critérium des salaires120
  • Les modifications subies par beaucoup de besognes depuis cinq cents ans les rendent difficilement comparables120
  • Charpentiers, menuisiers, couvreurs, peintres121
  • Système adopté parles patrons du moyen âge pour la paye de leurs journées126
  • En quoi il diffère du mode actuel126
  • Tonneliers, charrons, boulangers, meuniers, tailleurs, couturières127
  • Maréchaux-ferrants et forgerons128
  • Plâtriers, paveurs129
  • La différence est plus grande qu?aujourd?hui entre les ouvriers à l'année et les ouvriers à la journée131
  • Onen peut conclure que le nombre de 250 jours de travail est rarement atteint132
  • Tapissiers, enlumineurs, graveurs; fondeurs de métaux et mineurs132
  • Le maçon gagne actuellement 36 pour 100 de plus que le journalier; de 1200 à 1600, il a gagné en moyenne 39 pour 100 de plus133
  • L'écart minimum entre les deux salaires n?est que de 20 pour 100 en 1326 1350; il est au maximum de 57 pour 100 en 1401-1425133
  • Les salaires ouvriers du XIIIe au XVIe siècle, comparés au salaire de 1897, en tenant compte de la valeur relative de l'argent133
  • Le maçon tombe de 1.230 francs par an en 1476-1600 à 760 francs en 1576-1600,134

CHAPITRE V SALAIRES DES OUVRIERS DE MÉTIER DE 1600 A 1800.

  • Les salaires des ouvriers évoluent aux derniers siècles, commeau moyen âge, sans être influencés par les règlements corporatifs ou législatifs135
  • Antagonisme ancien des ouvriers et des patrons136
  • Grèves au XVe siècle137
  • Comment l'érection des maîtrises nouvelles se peut faire sans difficulté138
  • Barrières naturelles opposées au monopole, du côté du public et du côté des ouvriers139
  • Il y avait autrefois plus de petits patrons que de nos jours140
  • Exemples à Paris, à Sens, à Périgueux141
  • Les corporations n?ont pas pu restreindre le nombre des maîtres142
  • Les lettres de maîtrise ne donnent pas la clientèle143
  • Actions des moeurs sur le recrutement de certaines professions: cordiers, apotspancaires143
  • De l'apprentissage; charge qu?il impose144
  • Durée des contrats145
  • La loi de l'offre et de la demande a-t-elle été dominée en cette matière parles règlements?146
  • Les longs apprentissages sont généralement gratuits147
  • Prix de ceux que l'on paye en espèces comparés aux prix de nos jours148
  • Les lois restrictives de la liberté se multiplient sans succès de 1600 à 1800149
  • Formalités de cooptation des "maîtres"150
  • Le rapport est le mêmeaux derniers siècles qu?aujourd?hui, entre la paye des journaliers et celles des ouvriers de métier,151
  • Tarif de la journée du maçon, du charpentier151
  • Le salaire doeun aide est souvent compris dans celui du compagnon, quoiqu?il ne soit pas mentionné152
  • Journée des couvreurs, peintres, paveurs153
  • Taux minimes des salaires annuels ou mensuels, par rapport aux salaires à la journée, dans toutes les professions154
  • Salaires des boulangers, brasseurs, tapissiers, cordonniers, drapiers; salaire de tisserands, avec un minimum obligatoire de fabrication155
  • Journée des maréchaux, mineurs, forgerons, fondeurs; des charrons et tonneliers156
  • Entre les salaires masculins et féminins, la distance est plus grande dans l'industrie que dans l'agriculture158
  • L'écart était semblable autrefois à ce qu?il est aujourd?hui158
  • Salaires des ouvrières du XIIIe au XVIIIe siècle: couturières, blancspansseuses, matelassières, fileuses, drapières, brodeuses159
  • Salaires des jardiniers et des vignerons160
  • Distinction entre les jardiniers ordinaires et de luxe160
  • Culture de la vigne à façon161
  • Façons ouvrières depuis 1200 jusqu?à 1800162
  • Leurs variations servent de contrôle au tarif des journées163
  • Difficulté de ce genre de recherches; elles doivent porter sur des travaux uniformes163
  • Prix payés pour la façon des vêtements: cottes, pourpoints, robes, chausses, culottes, etc164
  • Façon et ressemelage des souliers166
  • Filage du chanvre, du lin et de l'étoupe167
  • Tissage de la toile167
  • Façon des chemises168
  • En toutes choses, du moyen âge aux temps modernes, la main-d?oeuvre baisse, la matière première augmente169
  • Révolution inverse qui s?accomplit depuis cent ans170
  • Filage de la laine170
  • Tissage et tonture du drap170
  • Façon de la chandelle, de la bougie, de l'huile à brûler, des fagots, des tuiles; prix de la maçonnerie à la tâche171
  • Comparaison du salaire de l'ouvrier en 1790 et en 1897173

CHAPITRE VI LE BLÉ ET LE PAIN AU MOYEN AGE (1200-1600).

  • Le salaire réel175
  • Nécessité d?envisager le pouvoir de l'argent séparément sur les recettes et sur les dépenses de la classe ouvrière176
  • Triste compressibilité des besoins chez les pauvres178
  • Pouvoir de l'argent spécial aux diverses catégories populaires suivant leur degré de jouissances ou de misère178
  • Rôle plus ou moins important de la nourriture dans le budget, et du pain dans la nourriture179
  • Utilité de connaître néanmoins le pouvoir général de l'argent180
  • Ancienne théorie économique sur le rapport des denrées aux salaires180
  • Diversité actuelle des salaires selon les pays180
  • La question du pain tient une place dominante parmi les préoccupations de nos aïeux181
  • Ce n?est que d?spaner qu?elle est résolue181
  • Dans l'Europe du moyen âge, la liberté même des transactions n?eût pas suffi à équilibrer les cours182
  • Hausses et baisses excessives qui se produisaient simultanément dans des localités peu éloignées182
  • Protectionisme ayant en vue l'intérêt exclusif des consommateurs183
  • Frais de transport du blé183
  • Législation et entraves au commerce des grains184
  • Tendance des autorités municipales184
  • Vente des blés en vert185
  • Effroi de l'accaparement185
  • Les greniers communaux organisés parles villes comme palliatif aux disettes186
  • Achats de blé par les caisses publiques,186
  • Effets des hausses et des baisses extrêmes du blé sur le budget du journalier; il souffre beaucoup plus des unes, qu?il ne profite des autres187
  • Le froment et le blé sont confondus dans nos tableaux de prix: impossibilité de les distinguer188
  • Exagération des chroniqueurs pour les années de famine ou d?abondance188
  • De quelques prix réels, dans les villes, qui ne sont pas sincères189
  • Prix de l'hectolitre de froment au XIIe siècle189
  • Moyenne des prix au XIIIe siècle. de 3 fr. 80 à 6 fr. 40. leur diversité selon les provinces. Hausse du blé au commencement du XIVe siècle à 8 fr. 65190
  • Chaque province a ses heures de détresse et de prospérité191
  • Baisse à 6 fr. 70 en 1326-1350192
  • La période 1351-1375 est la plus chère du moyen âge; le blé vaut en France 9 francs l'hectolitre193
  • Le prix diminue de moitié en 1376-1400193
  • Il augmente de nouveau en 141-1425 à 7 fr. 20, valant 32 francs de notre monnaie. C?est la période des plus fortes variations doeune localité à l'autre194
  • Avec le milieu du XVe siècle commence le bas prix du blé196
  • Il vaut 3 fr. 25 en 1451-1475 et 4 francs de 1476 à 1525196
  • En 1464 l'hectolitre vaut de 1 fr. 75 au maximum à 0,56 centimes au minimum197
  • A partir de 1525, les prix s?élèvent sans aucun arrêt, la moyenne passe de 4 à 7 francs, puis à 12 francs en 1551 1575199
  • En même temps l'irrégularité des cours recommence; ils varient du simple au quadruple dans la même année200
  • C?est à Lille que le blé est le plus cher200
  • En 1572 l'échelle des prix commence à 1 fr. 35 à Caen, et finit à 33 francs à Tulle201
  • Les cours s?élèvent en 1576-1600201
  • Le XVIe siècle, qui avait vu à son début les prix les plus bas de la monarcspane, vit à son déclin les prix les plus hauts201
  • En 1586 le froment vaut 16 francs au minimum et 98 francs au maximum201
  • Le prix moyen de 20 francs l'hectolitre en 1576-1600 représente 50 francs de notre monnaie202
  • Erreur ancienne sur l'équilibre du blé avec la population ou avec les salaires203
  • Rapport de l'argent avec le blé; époques où il a été plus cher que de nos jours204
  • Comparaison du prix du blé avec le taux du salaire des journaliers205
  • Évaluation en blé du gain annuel de l'ouvrier, de 1200 à 1600205
  • Le pain de l'ouvrier d?autrefois se compose de toutes sortes de farines206
  • Prix et rapport des autres grains entre eux: seigle, orge, avoine206
  • Pourquoi nous avons tenu peu de compte des prix du pain208
  • Ancienne base de la taxe du pain209
  • Le pain actuel des indigents était jadis celui des princes210
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Caractéristiques techniques

  PAPIER
Éditeur(s) Hachette
Auteur(s) Georges Avenel
Collection Sciences sociales
Parution 01/03/2020
Nb. de pages 726
Format 15.6 x 23.4
Couverture Broché
Poids 982g
EAN13 9782329397412

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