A l'ombre des jeunes filles en fleurs (grands caractères)

"A l'ombre des jeunes filles en fleurs" est un chef-d'oeuvre littéraire intemporel de Marcel Proust, désormais disponible en grands caractères pour faciliter la lecture. Ce deuxième tome de la célèbre saga "À la recherche du temps perdu" nous plonge dans l'univers complexe et fascinant de l'auteur. Dans ce roman, Proust nous transporte dans un monde où les souvenirs et les émotions se mêlent pour former une fresque captivante de la société bourgeoise du début du XXe siècle. À travers les yeux du narrateur, nous découvrons les affres de l'amour, les jeux de séduction et les tourments de la jeunesse. L'histoire se déroule dans les salons mondains, les jardins luxuriants et les bals élégants de la haute société parisienne. Le narrateur, en quête de l'amour idéal, se laisse emporter par ses désirs et ses fantasmes, tout en observant avec une acuité remarquable les comportements et les jeux de pouvoir qui animent ce microcosme social. Proust nous offre une plongée profonde dans les méandres de la psychologie humaine, explorant les thèmes de la mémoire, du temps qui passe et de la recherche de soi. À travers une prose riche et poétique, l'auteur nous invite à réfléchir sur la nature de l'amour, de l'art et de la beauté. Ce livre, dans sa version en grands caractères, permet à tous les lecteurs de profiter pleinement de cette oeuvre magistrale. Que vous soyez un fervent admirateur de Proust ou que vous découvriez son univers pour la première fois, "A l'ombre des jeunes filles en fleurs" vous transportera dans un monde envoûtant, où la passion et la mélancolie se côtoient avec une grâce infinie. Impression en « gros caractères ». Extrait : "Ma mère, quand il fut question d'avoir pour la première fois M. de Norpois à dîner, ayant exprimé le regret que le Professeur Cottard fût en voyage et qu'elle-même eût entièrement cessé de fréquenter Swann, car l'un et l'autre eussent sans doute intéressé l'ancien ambassadeur, mon père répondit qu'un convive éminent, un savant illustre, comme Cottard, ne pouvait jamais mal faire dans un dîner, (...)"