Résumé
« Je vous ai inventés pour me pourrir la vie, mais vous n'existez pas.
Je vous hais.
Je vous tuerai tous... »
Ce message est publié sur un blog au petit matin du 21 décembre 2012, date annoncée de la « fin du monde ». Ce même matin, Mona Cabriole, journaliste à Parisnews, sort d'une nuit blanche pour cause de rupture sentimentale mal digérée. Activistes, conspirateurs, fêtards et cinglés - la ville entière semble s'être donné le mot pour que cette journée ne soit pas comme les autres. Mona se rend sur les Champs-Élysées pour enquêter sur une affaire de meurtres en série. La fin du monde la rattrapera-t-elle ?
REVUE DE PRESSE
« Je vous recommande ce polar au féminin, qui est à la fois bizarre, cru et malpoli, tendu comme un épisode de 24 heures Chrono et d'une doté d'une langue rare, une langue ultra-contemporaine ».
Richard Gaitet, Standard (sur Europe 1)
« Une réjouissante écriture puisée à l'encrier de notre époque ».
François Perrin, TGV magazine
« Elysée Noire 666 est un coup de poing dans la gueule le jour de la fin du monde. Agressif, tonique, un peu fou et surtout sérieusement déjanté ».
Lynchmaniac, Plume libre
« Au volant du bolide, Alex D. Jestaire s'avère une plume efficace, mais aussi un homme de goût lorsqu'il s'agit d'aborder le dark side des choses ».
Guillaume Dumazer, Pwah
« Une Mona au bord de la crise de nerf sur fond d'apocalypse. C'est un volcan incandescent auquel vous vous brûlerez les pages aux scories de ses accents déjantés ».
Franck dit Barthe, Le Mague
« Le roman se lit comme comme une version techno-grunge d'un After hours vidé de toute légèreté ».
Cédric Chort, Froggy's Delight
« Une écriture percutante, un scénario qui dessine parfaitement la folie des hommes et la quête d'une femme amoureuse soumise aux doutes. Alex D. Jestaire a du Selby en lui mais pas que. Si Jestaire n'existait pas, il aurait fallu l'inventer».
Cali Rise, Impudique magazine
« Un petit bijou dans la collection Mona Cabriole ».
Fabien Sonntag, L'Art de lire
« Le style est moderne, enlevé, résolument tourné vers le dialogue des personnages avec une bande son proposée très post industriel ».
Olivier Verstraete, Radio Cité Vauban
« Avec ses références rock lâchées au fil de la pensée et son langage trash, Alex D. Jestaire donne un coup de fouet à Mona Cabriole. ».
Cathy Viale, Abus dangereux
« Ce volume, où Jestaire jongle en virtuose avec les codes, est le plus déjanté. ».
Philippe Levreaud, Bibliothèque(s)