Résumé
Au-dessus des remous de la Seine, accroché au pont Saint Louis, se balance le corps sans vie de l'inspecteur Dartoce. Problème : le flic est déguisé en Elton John, et il semble danser sur les accords lugubres d'une chanson interprétée par Antony and the Johnsons et Lou Reed... Autre problème : ce meurtre est le premier d'une série étrangement ritualisée.
REVUE DE PRESSE
« Skins fachos, flics véreux, transformistes hallucinatoires et folk apocalyptique sont au programme de cette lecture passionnante et fantaisiste placée sous le quadruple patronage de Rufus Wainwright, Aleister Crowley, Boy George et David Tibet. Et de nous faire succomber à nouveau aux charmes de Mona Cabriole, émanation new wave d'un poulpe du troisième millénaire. »
Etienne Greib, Magic
« L'intrigue est prenante et le suspense efficace, tout autant que les différents personnages qui se dessinent dans cette trame obscure. Une écriture fluide et musicale, bien modelée. »
Antoine Dole, Pref
« Un livre manifeste sur les violences policières dont on ressort complètement sonné. »
Cathy Viale, Abus dangereux
« Dans ce Paris underground, les flics sont pourris jusqu'à la moelle et les homos du quartier du Marais ne sont pas des enfants de choeur. Bref, c'est du bon vrai polar. »
Benoît Vochelet, Paris-Normandie
« C'est déconnant à plein tube, de Joyce à Dalida, en passant par le Velvet, Lou Reed et Antony and the Johnsons... Drôle mais violent, voire barbare. »
Joel Jégouzo, Noir comme polar
« Thomas Hédouin nous propose un voyage mené tambour battant par une écriture cinglante et enivrante. Un livre à découvrir au plus vite. »
Nathalie Zylberman, Radio Vallée
« Tout, dans ce livre, est sombre et violent. Seule la musique est brillante, omniprésente, presque fulgurante. Le style est calqué sur elle, le roman est écrit comme un morceau de musique. Tour à tour rythmé, précis, entêtant, tranchant. »
Cécile Nadaï, Papercuts
« C'est très efficace. Aucun détail sanguinolent ne nous est épargné. »
Ingrid Pohu, France Bleu Ile-de-France
« Le ton est résolument moderne et vivant, le style est fluide, se hache dans les expressions de violence qui parsèment avec régularité le récit. »
Jean-Hugues Villacampa, La Tête en noir