Le décaméron (grands caractères)

Le Décaméron, écrit par Giovanni Boccaccio, est un chef-d'oeuvre de la littérature italienne du XIVe siècle. Cette édition en grands caractères permet aux lecteurs de tous âges et de toutes conditions visuelles de plonger dans l'univers captivant de cette oeuvre intemporelle. Le Décaméron est un recueil de cent nouvelles racontées par un groupe de dix jeunes gens qui se sont réfugiés dans une villa à la campagne pour échapper à la peste noire qui ravage Florence. Pendant dix jours, ils se divertissent en se racontant des histoires de toutes sortes : des récits d'amour passionnés, des farces comiques, des contes moraux et des fables édifiantes. Chaque nouvelle est un véritable bijou littéraire, avec des personnages vivants et des intrigues captivantes. Boccaccio explore avec finesse et humour les thèmes de l'amour, de la tromperie, de la justice et de la condition humaine. Les histoires sont variées, allant de l'érotisme à la satire sociale, en passant par la critique de l'Église et de la noblesse. Le style de Boccaccio est fluide et élégant, avec une richesse de détails qui permet au lecteur de s'immerger complètement dans chaque récit. Les dialogues sont vifs et pleins d'esprit, et les descriptions des paysages et des personnages sont d'une grande finesse. Le Décaméron est un livre qui a traversé les siècles et qui continue de fasciner les lecteurs du monde entier. Cette édition en grands caractères permet à tous de profiter de cette oeuvre majeure de la littérature italienne, en offrant un confort de lecture optimal. Plongez dans l'univers enchanteur du Décaméron et laissez-vous emporter par ces cent histoires pleines de vie, d'émotion et de sagesse. Une lecture inoubliable qui vous transportera dans l'Italie médiévale et vous fera réfléchir sur les aspects les plus profonds de l'âme humaine. Impression en « gros caractères ». Extrait : "Toutes les fois, ô gracieuses dames, que, pensant en moi-même, je regarde combien vous êtes naturellement pitoyables, autant de fois je connais que la présente oeuvre aura, à votre jugement, fâcheux et ennuyeux commencement, aussi bien comme est douloureuse la souvenance qu'elle porte en son front de la pestilentieuse mortalité dernière, universellement dommageable à chacun qui la vit ou qui autrement la connut ; mais je ne veux pourtant que ceci vous épouvante..."