Les fausses confidences (grands caractères)

Les Fausses confidences (grands caractères) de Marivaux, Pierre Carlet de, est une oeuvre littéraire classique qui nous plonge dans l'univers des intrigues amoureuses et des jeux de pouvoir. L'histoire se déroule dans la haute société parisienne du XVIIIe siècle, où les apparences et les faux-semblants règnent en maîtres. Araminte, une veuve riche et séduisante, est courtisée par Dorante, un jeune homme sans fortune mais doté d'un charme irrésistible. Pour conquérir le coeur de la belle Araminte, Dorante va user de stratagèmes et de manipulations, en se faisant passer pour un confident au service de la jeune femme. Les Fausses confidences est une comédie de moeurs qui explore avec finesse les jeux de séduction et les rapports de pouvoir entre les personnages. Marivaux, maître de l'écriture théâtrale, nous offre ici une pièce subtile et pleine d'humour, où les dialogues ciselés et les quiproquos s'enchaînent pour notre plus grand plaisir. Au-delà de l'intrigue amoureuse, Marivaux aborde également des thèmes plus profonds tels que la manipulation, la confiance et la vérité. Les personnages, tous plus complexes les uns que les autres, se dévoilent peu à peu, révélant leurs véritables intentions et leurs faiblesses. Les Fausses confidences (grands caractères) est une édition spécialement adaptée pour les lecteurs ayant des difficultés de vision. Avec une police de caractères plus grande et une mise en page claire, ce livre permet à tous de profiter pleinement de cette oeuvre classique. Plongez-vous dans l'univers captivant de Marivaux et laissez-vous emporter par les jeux de l'amour et du pouvoir dans Les Fausses confidences (grands caractères). Une lecture passionnante qui ne manquera pas de vous séduire et de vous faire réfléchir sur les apparences trompeuses de notre société. Impression en « gros caractères ». Extrait : "ARAMINTE - Vous avez donc vu ma mère ! DORANTE - Oui, Madame, il n'y a qu'un moment. ARAMINTE - Elle me l'a dit, et voudrait bien que j'en eusse pris un autre que vous. DORANTE - Il me l'a paru. ARAMINTE - Oui, mais ne vous embarrassez point, vous me convenez. DORANTE - Je n'ai point d'autre ambition. ARAMINTE - Parlons de ce que j'ai à vous dire ; mais que ceci soit secret entre nous, je vous prie."