Poésie confinée

Bien qu'il écrive sous différentes formes, vers libérés ou prose poétique, Philippe Lemoine affectionne tout particulièrement le vers classique et régulier. « Poète avant d'être homme », par le bais de sa poésie qu'il conçoit comme un acte de résistance, il affirme ses valeurs humanistes et prêche l'universalité de la fraternité, la justice, la liberté...
Philippe Lemoine porte sa propre conception de l'Art poétique, mais selon ce principe que « chacun porte en soi une sensibilité poétique qui ne demande qu'à être révélée ou libérée... ». Par le biais de lectures ou de récitals poétiques, il contribue activement à la diffusion de la poésie en tous lieux. À ce titre, il a été invité, officiellement, en janvier 2010 comme poète représentant la France au centenaire de Jean Genet à Larache au Maroc, il a également participé à une rencontre organisée en son honneur à Sousse en Tunisie.
Publier de la poésie, n'est pas une fin en soi. Pour Philippe Lemoine, l'essentiel est de la composer, la lire, la chanter, la diffuser, la partager, la respirer, la vivre, avec passion, intensément. Simone Salgas aime à dire qu'il : « est un poète habité ! ».

L'année 2020 restera dans l'histoire et la mémoire collective sous le signe d'un nouveau Coronavirus ; le Covid-19. Venue de Chine, la pandémie traversa le monde. Sous la menace et face au manque de traitement et de matériel, événement unique depuis les temps premiers, de nombreux états dans le monde confinèrent leur population à résidence.

Hôpitaux surchargés, manque d'appareils de réanimation et de prévention comme les masques chirurgicaux..., la France connut des semaines critiques. Durant cette période dramatique, il nous faut souligner et ne pas oublier, le courage de tout le personnel hospitalier œuvrant dans des établissements publics comme dans le privé. Ne pas oublier, médecins, femmes de ménage, infirmiers, infirmières, aides-soignantes, professeurs, secouristes..., ne pas les oublier, car nombreux d'entre eux, en première ligne, sont décédés atteints par la maladie ; ne pas oublier leur abnégation !