Tous nos rayons

Déjà client ? Identifiez-vous

Mot de passe oublié ?

Nouveau client ?

CRÉER VOTRE COMPTE
Alciphron ou le petit philosophe. Tome 1
Ajouter à une liste

Librairie Eyrolles - Paris 5e
Indisponible

Alciphron ou le petit philosophe. Tome 1

Alciphron ou le petit philosophe. Tome 1

George Berkeley - Collection Religion

410 pages, parution le 01/06/2020

Résumé

Alciphron, ou Le petit philosophe. Tome 1 / ; en sept dialogues : contenant une apologie de la religion chretienne contre ceux qu'on nomme esprits-forts. Tome premier [-second]
Date de l'édition originale : 1734

Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.
HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.
Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.
Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.
Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.
Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr

L'auteur - George Berkeley

Autres livres de George Berkeley

Sommaire

TABLE DES SUJETS DE CE PREMIER VOLUME.

DIALOGUE PREMIER.

SECT.
I. Introduction.Pag. 1
II. But et Desseins des Esprits forts.8
III. Oppositions qu'ils rencontrent de la Part de Clergé.12
IV. Liberté de penser.15
V. Nouveaux Eclaircissemens sur les Vûes des Esprits-forts.18
VI. Pas que fait un Esprit-fort vers l' Athéisme.22
VII Imposture concertée entre les Prêtres et les Magist¡rats.25
VIII. Methode dont se servent les Esprits-forts pour faire des Proselytes et des Découvertes.27
IX. L'Athée seul libre. Sentiment qu'il a touchant le Bien et le Mal moral.29
X. Les Esprits-forts modernes justement nommez petits Pspanlosophes.33
XI. Quelle sorte d'Hommes sont les petits Pspanlosophes, et comment élevez.36
XII. Leur Nombre, Progrès, et Sentimens.43
XIII. Comparez avec d'autres Pspanlosophes.49
XIV. Quelles Choses et quelles Notions doivent être estimées naturelles.51
XV. La Vérité est toujours la même, non-obstant la Diversité des Opinions.57
XVI. Regle et Mesure des Véritez morales.60

DIALOGUE SECOND.

SECT.
I. Erreur vulgaire, que le Vice est nuisible.69
II. Avantages qu'il y a à s'enyvrer, à jouër, et à frequenter de mauvais Lieux.72
III. On commence à revenir des Prejugez qu'on avoit contre le Vice.77
IV. Son Utilité mise dans tout son Jour parles Exemples de Callicles et de Telefilla.79
V. Examen du Raisonnement de Lysicles en faveur du Vice.81
VI. Injustice qu'il y a à punir des Actions, qui decoulent d'une Doctrine qu'on tolere.85
VII. Experience dangereuse que font les petits Pspanlosophes.88
VIII. Leur Doctrine de la Circulation et de la Revolution.92
IX. Genre de Réformation qu'ils voudroient introduire.95
X. Les seules Richesses ne suffisent pas pour rendre une Société heureuse.96
XI. Autorité des petits Pspanlosophes. Leur Prejugé contre la Religion.98
XII. Effets du Luxe. Si la Vertu est quelque-chose de réel.100
XIII. Plaisir des Sens.103
XIV. Quels Plaisirs font les plus naturels à l'Homme.107
XV. Dignité de la Nature Humaine.111
XVI. Erreur en fait de Plaisir.115
XVII. Amusemens, Misere, et Lacheté des petits Pspanlosophes.118
XVIII. Les Débauchez ne sçauroient bien calculer.124
XIX. Habileté et Succès des petits Pspanlosophes.127
XX. Heureux Effets de leur Pspanlosopspane demontrez par quelques Exemples particuliers.132
XXI. Leurs Notions degagées sur le Gouvernement.137
XXII. L'Angleterre est le vrai Séjour qui convient aux petits Pspanlosophes.141
XXIII. Politique de ceux qui font Profession de cette Pspanlosopspane.143
XXIV. Obligations que leur a le Public.146
XXV. Leurs Idées et leur Caractere.152
XXVI. Leur Penchant vers le Papisme et vers l'Esclavage.154

DIALOGUE TROISIEME.

SECT.
I. Notions qu'Alciphron a de l'Honneur.161
II. Caractere et Conduite d'un Homme d'Honneur.165
III. Beauté Morale.169
IV. Le Honestum ou le des Anciens.173
V. Si l'on peut se fier au Sentiment qu'on a de la Beauté Morale.175
VI. Les petits Pspanlosophes sont enchantez de la Beauté abstraite de la Vertu.177
VII. Leur Vertu seule desinteressée et héroïque.179
VIII. Beauté des Objets sensibles, quelle, et comment apperçûe.182
IX. L'Idée de la Beauté expliquée par le moyen de la Peinture et de l'Arcspantecture.185
X. En quoi consiste la Beauté du Systeme Moral.192
XI. Ce Systeme suppose une Providence.194
XII. Influence du & du .196
XIII. Enthousiasme de Cratylus comparé avec les Sentimens d'Aristote.200
XIV. Et avec les Principes des Stoïciens.205
XV. Talens des petits Pspanlosophes en fait de Railleries.208
XVI. La Sagesse de ceux qui sont de la Vertu de sa propre Recompense.211

DIALOGUE QUATRIEME.

SECT.
I. Prejugez touchant l'Existence d'un Dieu.218
II. Regles dont Alciphron demande l'Observation dans la Demonstration de cette Existence.220
III. Quelle sorte de Preuves il exige.223
VI. D'où nous concluons l'Existence d'autres Individus pensans.226
V. La même Methode prouve à plus forte raison l'Existence de Dieu.228
VI. Nouvelles Considerations d?Alciphron sur ce Point.232
VII. Dieu parle aux Hommes.234
VIII. Comment la Distance est apperçûe par la Vûe.236
IX. Les Objets propres de la Vûe ne sont à aucune Distance.239
X. La Lumiere, les Ombres, et les Couleurs, diversement combinées forment un Langage.242
XI. Ce Langage ne s'apprend que par l'Expérience.244
XII. Dieu s'explique aux Yeux des Hommes par l'Usage arbitraire de plusieurs Signes sensibles.246
XIII. Formes differentes que revetent les petits Pspanlosophes.249
XIV. Dieu present aux Yeux du Genre Humain, instruit, exhorte, et dirige les Hommes d'une maniere sensible.251
XV. Nature et Usage admirables de ce Langage visible.253
XVI. Les petits Pspanlosophes ne refusent pas d'admettre un Dieu dans de certains Sens.257
XVII. Opinion de ceux qui croyent que Dieu ne possede proprement, ni Connoissance, ni Sagesse.259
XVIII. Dangereuses Consequences de cette Opinion.261
XIX. Son Origine.264
XX. Sentiment des Scholastiques fur ce Sujet.268
XXI. Sens des Termes Analogie et Analogique expliqué. Perfections analogiques de Dieu mal entendues.270
XXII. Dieu intelligent, sage, et bon, à la rigueur des Termes.273
XXIII. Examen de l'Objection tirée du Mal Moral.275
XXIV. Les Hommes tournent leurs propres Defauts en Argumens contre la Divinité.276
XXV. Le Culte Religieux, utile et raisonnables.278

DIALOGUE CINQUIEME.

SECT.
I. Les petits Pspanlosophes suivent la Foule, et se laissent entrainer par d'autres.281
II. Le Culte prescrit par la Religion Chretienne convient à Dieu et à l'Homme.285
III. Pouvoir et Influence des Druïdes.287
IV. Excellence et Utilité de la Religion Chretienne.289
V. Elle ennoblit le Genre-Humain, et le rend heureux.290
VI. La Religion differente de la Bigoterie et de la Superstition.292
VII. Medecins et Medecine pour l'Ame.294
VIII. Caractere du Clergé.296
IX. La Religion Naturelle et la Raison Humaine ne doivent point être méprisées.297
X. But et Utilité de la Religion Payenne.299
XI. Bons Effets du Christianisme.301
XII. Les Anglois comparez avec les anciens Grecs et Romains.303
XIII. Mode des Duels.306
XIV. Caractere des anciens Romains.310
XV. Fruits propres de l'Evangile.312.
XVI. Les Guerres et les Factions ne sont pas des Effets de la Religion Chrétienne.314
XVII. Sedition et Massacres en Grece et à Rome.316
XVIII Vertu des anciens Grecs.319
XIX. Ecrits Polemiques de quelques Théologiens.321
XX. Tyrannie, Usurpation, et Sopspansmes des Ecclesiastiques.324
XXI. Les Universitez censurées.329
XXII. Ecrits Theologiques d'un certain Critique moderne.332
XXIII. Le Sçavoir est un Effet de la Religion.336
XXIV. Barbarisme des Ecôles.338
XXV. A qui nous avons l'Obligation de la Renaissance des Arts et des Sciences.340
XXVI. Prejugé et Ingratitude des petits Pspanlosophes.343
XXVII. Contradiction entre leurs Pretensions et leur Conduite.345
XXVIII. Comparaison entre les Hommes et les Brutes, par rapport à la Religion.348
XXIX. Le Christianisme est le seul Fondement inebranlable de la Religion Naturelle.350
XXX. Les Esprits-forts se méprennent dans l'Usage de leurs Talens. Ils ont une puissante Imagination.352
XXXI. Dîmes et Terres affectées à l'Eglise.354
XXXII. Distinction entre des Hommes et des Créatures Humaines.358
XXXIII. Distribution du Genre Humain en Oiseaux, en Bestiaux, et en Poissons.360
XXXIV. Plaidoyer enfaveur de la Raison admis, mais la Mauvaise-Foi blamée.362
XXXV. La Liberté, une Benedicton ou une Malediction, suivant l'Usage qu'on en fait.364
XXXVI. L'aveugle Soumission aux Prêtres n'est gueres à craindre de nôtre Temps.368
Voir tout
Replier

Caractéristiques techniques

  PAPIER
Éditeur(s) Hachette
Auteur(s) George Berkeley
Collection Religion
Parution 01/06/2020
Nb. de pages 410
Format 15.6 x 23.4
Couverture Broché
Poids 554g
EAN13 9782329429588

Avantages Eyrolles.com

Livraison à partir de 0,01 en France métropolitaine
Paiement en ligne SÉCURISÉ
Livraison dans le monde
Retour sous 15 jours
+ d'un million et demi de livres disponibles
satisfait ou remboursé
Satisfait ou remboursé
Paiement sécurisé
modes de paiement
Paiement à l'expédition
partout dans le monde
Livraison partout dans le monde
Service clients sav@commande.eyrolles.com
librairie française
Librairie française depuis 1925
Recevez nos newsletters
Vous serez régulièrement informé(e) de toutes nos actualités.
Inscription