Résumé
La Faute de l'abbé Mouret, écrit par Émile Zola, est un roman captivant qui plonge le lecteur dans un univers empreint de passion et de mystère. Dans cette édition en grands caractères, l'histoire prend une dimension encore plus immersive, permettant à tous les lecteurs de profiter pleinement de cette oeuvre incontournable de la littérature française. L'histoire se déroule dans un petit village provençal, où l'abbé Mouret, jeune prêtre idéaliste, est envoyé pour prendre en charge une paroisse. Mais dès son arrivée, il est frappé par la beauté envoûtante d'Arsule, une jeune femme au charme irrésistible. Pris dans un tourbillon de désirs interdits, l'abbé Mouret succombe à la tentation et se laisse emporter par une passion dévorante. Ce roman explore avec audace les thèmes de la religion, de la tentation et de la rédemption. Émile Zola nous plonge dans les tourments intérieurs de son personnage principal, décrivant avec une précision saisissante les luttes entre la chair et l'esprit. La Faute de l'abbé Mouret est une véritable introspection sur les limites de la foi et les conséquences de nos actes. Avec sa plume incisive et son style réaliste, Zola nous offre une peinture vivante de la société du XIXe siècle, où les conventions sociales et religieuses pèsent lourdement sur les individus. Les personnages, complexes et profondément humains, nous entraînent dans un tourbillon d'émotions et de questionnements. Cette édition en grands caractères permet à tous les lecteurs de se plonger dans cette histoire captivante, sans contrainte de lecture. Que vous soyez un amateur de littérature classique ou simplement à la recherche d'une histoire passionnante, La Faute de l'abbé Mouret est un livre qui ne vous laissera pas indifférent. Impression en « gros caractères ». Extrait : "La Teuse, en entrant, posa son balai et son plumeau contre l'autel. Elle s'était attardée à mettre en train la lessive du semestre. Elle traversa l'église, pour sonner l'Angélus, boitant davantage dans sa hâte, bousculant les bancs. La corde, près du confessionnal, tombait du plafond, nue, râpée, terminée par un gros noeud, que les mains avaient graissé ; (...)"