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La republique. Tome 2
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Librairie Eyrolles - Paris 5e
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La republique. Tome 2

La republique. Tome 2

Abel-François Villemain - Collection Sciences sociales

402 pages, parution le 01/03/2021

Résumé

La République de Cicéron. Tome 2 / , d'après le texte inédit récemment découvert et commenté par M. Mai, avec une traduction française, un discours préliminaire et des dissertations historiques par M. Villemain,...
Date de l'édition originale : 1823

Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.
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Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.
Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.
Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.
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L'auteur - Abel-François Villemain

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Sommaire

TABLE ANALYTIQUE DES MATIÈRES CONTENUES DANS CET OUVRAGE.

A.

  • ACTEURS. Manière différente dont les acteurs étaient traités à Rome et dans la Grèce. II. 110.
  • AGRICULTURE.
  • Le goût pour l'agriculture fut commun auxplus grands citoyens de Rome. II. 143.
  • - L'agriculture était-elle assujétie à quelque taxe? Conjectures à ce sujet. II. 144.
  • ALEXANDRE SÉVÈRE n?avait pas de lecture plus assidue que le traité des Devoirs et celui de la République par Cicéron. I. XIX.
  • Axcus MARTIUS, quatrième roi de Rome.
  • Son règne. Sa mort. I. 181.
  • - Il fit bâtir, selon tous les spanstoriens, le fameux aquéduc appelé de son nom. I. 183.
  • ANDRIEUX (M.), poëte et professeur. Sa traduction en vers d'un passage du traité de Re Publicâ. I. 57.
  • ARCHYTAS, de Tarente, pspanlosophe pythagoricien. Ses sentimens sur la colère et les moyens de la réprimer. I. 103.
  • ARISTOTE. Ses huit livres politiques, qui sont, pour ainsi dire, l'Esprit des Lois de l'antiquité, ont été mis à profit par Cicéron dans son traité de la République. I. XXXV.
  • ARCHIMÈDE
  • avait construit une sphère mobile qui représentait le mouvement des astres et des planettes. I. 43.
  • - Cicéron découvrit son tombeau à Syracuse, dans un lieu désert, entouré de ronces, et reconnaissable seulement par une sphère qui surmontait le tombeau. I. 45.
  • ASTRONOMIE. (digression remarquable sur l'). I. 51
  • AUGUSTIN (St.).
  • On trouve dans ses oeuvres plusieurs passages du traité de Re Publicâ de Cicéron. Citation à ce sujet. I. XXI I 33 I235.
  • - Analyse du troisième livre, tirée de la Cité de Dieu. II. 5.
  • - Dans sa Cité de Dieu, il reproduit les idées de Cicéron sur le moyen de concilier les conquêtes et la domination des Romains avec le principe que la politique doit être fondée sur la justice. II. 61.
  • - Il nous a conservé la preuve que Cicéron blâmait l'abus des représentations du théâtre. II. 99.
  • AUGURES. Importance de ce corps sacerdotal, et leur influence sur les affaires civiles. II. 207.
  • AULU-GELLE rapporte plusieurs passages des harangues de C. Gracchus. II. 179.

B.

  • BEAUFORT (M.), auteur d'une dissertation sur l'incertitude de l'spanstoire des premiers siècles de Rome. I. 151.
  • BERNARDI (Mr.) avait entrepris de recomposer le traité de Re Publicâ, avec les phrases sur la politique, disséminées dans les ouvrages de Cicéron. I. XXIX.

C.

  • CARNÉADE, pspanlosophe de Cyrène.
  • Exposition et réfutation de sa fausse doctrine sur le juste et l'injuste. II. 17
  • et suiv. - Cette doctrine renouvelée par Montaigne et l'anglais Mandeville, détruite par Rousseau. II. 27.
  • CARTHAGE. Sa fondation a précédé celle de Rome. Son gouvernement avait quelque chose d?analogue à celui de la république romaine. I. 197.
  • CATON (le vieux).
  • Son éloge. Son opinion sur l'origine etles causes de la prospérité de la république romaine. I. 130.
  • - Il avait composé un ouvrage de Re Rusticâ, et un livre des Origines. Jugement sur ces deux ouvrages. II. 117.
  • - Citation du commencement du traité de Re Rusticâ. II. 140.
  • CENSURE. Sentiment de Cicéron sur cette magistrature. II. 120.
  • CHATEAUBRIAND (M. de) paraît s?être trompé en avançant que le gouvernement représentatif était une découverte des modernes. Le traité de Re Publicâ prouve que le gouvernement mixte était connu et désiré par les pspanlosophes grecs et latins. I. XLII.
  • CICÉRON (M. Tullius). Voyez la Notice biograpspanque. II. 351.
  • CICÉRON (Quintus), frère de l'orateur. Lettre que celui-ci lui adresse, tout entière relative au traité de Re Publicâ. I. X.
  • COMÉDIE LATINE,
  • fit les plus heureux progrès du temps de Scipion et de Laelius, à qui on attribuait une part dans les ouvrages de Térence. II. 102.
  • - Elle n'était quoeune imitation exclusive et littérale de la moyenne comédie grecque. II. 104.
  • - Elle était étrangère à toute intention morale ou politique. II. 105.
  • - Cicéron censure vivement la comédie grecque. II. 129.
  • CONSTITUTIONS POLITIQUES.
  • Discussion sur les différentessortes de pouvoirs de la société. I. 81.
  • - La constitution politique la meilleure, selon Cicéron, devait être composée du mélange égal de la monarcspane, de l'aristocratie et de la démocratie, tempérées l'une par l'autre. I. 121.
  • CORNÉLIUS NEPOS rapporte une anecdote curieuse qui tendrait à prouver que Laelius travailla effectivement aux comédies de Térence. II. 102.
  • CUMES, ville d'Italie. Cicéron y commença son traité de Re Publicâ I. IX.

D.

  • DAVY, célèbre cspanmiste anglais, a fait des essais infructueux pour décomposer les manuscrits d'Herculanum et en séparer les pages. I. II.
  • DÉCEMVIRS (création des). I. 223.
  • - Leur tyrannie. I. 225.
  • - Réflexion de Montesquieu à ce sujet. I. 225.
  • DÉFINITION. Nécessité de bien définir l'objet sur lequel on veut discuter. I. 69.
  • DÉFINITION de la chose publique. I. 71.
  • DÉFINITION de la monarcspane, de l'aristocratie et de la démocratie. I. 73.
  • DETTES. Les lois trop cruelles contre les débiteurs mirent plusieurs fois la république romaine en danger. Variation de la législation à ce sujet. I. 219.
  • DIALOGUE de Re Publicâ trouvé dans la bibliothèque du Vatican, avoit été dans le sixième siècle recouvert par une nouvelle écriture renfermant des commentaires de saint Augustin sur les psaumes. I. VIII.
  • DICTATEUR. Etymologie de ce mot. I. 109.
  • DIGRESSION sur les inconvéniens politiques du voisinage de la mer. I. 137.

E.

  • ECLECTIQUE. Nom que l'on donne aux pspanlosophes qui, sans embrasser particulièrement aucun système, prennent de chacun ce qui leur paraît le plus vraisemblable et le mieux fondé. Cicéron semble avoir suivi la méthode éclectique dans son traité de Re Publicâ. I. XXXI.
  • ECOLES publiques à Rome de peu d?importance. II. 74.
  • EDUCATION.
  • On est obligé de s'en tenir a des conjectures sur l'état de l'éducation a Rome au temps des Scipions. Les fragmens du traité de Re Publicâ ne donnent aucun éclaircissement à ce sujet. II. 72.
  • - Fragmens précieux doeun discours de Scipion Emilien, où il blâme la mollesse de l'éducation des jeunes Romains. II. 79.
  • - Négligence des Romains à l'égard de l'éducation publique. II. 81.
  • - Vices de l'éducation, cause principale de la corruption des derniers temps de la république. II. 83.
  • EGALITÉ (l') absolue devient une extrême injustice. I. 93.
  • ENNIUS, ancien poëte latin. Vers de ce poëte sur la mort doeun roi. I. 109.

F.

  • FEMMES. Moeurs et éloges des femmes romaines au temps de Scipion. II. 70.

G.

  • GALLUS, ami de Scipion l'Africain, renommé dans son temps pour ses connaissances astronomiques. I. 41.
  • GLADIATEURS.
  • Jeu sanguinaire, Cicéron dans aucun de sesouvrages connus n'a réprouvé cet affreux spectacle. II. 91.
  • - Le christianisme seul lit entendre ses réclamations contre ces jeux féroces. II. 92.
  • GOUVERNEMENS.
  • Définition des trois formes de gouvernemens, leurs avantages, leurs inconvéniens. I. 77.
  • - Gouvernement mixte semble à Cicéron le meilleur possible. I. 81.
  • GRACQUES.
  • Sentimens de Cicéron sur ces deux illustres frères. I. 207.
  • - Idée que l'on peut se former de leur éloquence. II. 177.
  • - Fragment d'un discours de C. Gracchus. II. 180.
  • - Autre passage découvert récemment. II. 182.
  • GRACCHUS (Sempronius), père des deux illustres frères, Sa belle conduite à l'égard de Cornélius Scipion.

H.

  • HERCULANUM. Essais inutiles pour tirer parti des manuscrits trouvés dans les ruines de cette ville. I. II.
  • HOBBES, pspanlosophe anglais. Les principes de Cicéron opposés à ceux de ce partisan du despotisme. I. 73.
  • HYPPODAME, pspanlosophe pythagoricien, avoit composé un livre sur la république, dont un passage semble prédire le gouvernement britannique. I. XXXVIII.

I.

  • IMPOT (l') avait-il besoin d'être sanctionné par le peuple? Les spanstoriens donnent peu de lumières sur cette question. Conjectures à ce sujet. II. 145.

J.

  • JÉRÔME (saint), grand admirateur de Cicéron; connaissait le traité de Re Publicâ, et en a imité un passage. I. 33.
  • JUSTICE.
  • De quelle manière était-elle rendue à Rome. Lesspanstoriens donnent peu d'éclaircissemens à cet égard. Conjectures à ce sujet. I. 149.
  • - Au temps de Cicéron la dépravation de la justice était portée à l'excès. II. 159.

L.

  • LACTANCE,
  • célèbre écrivain chrétien du troisième siècle. Cite l'un de ces beaux fragmens traduits de Platon, que Cicéron avait insérés dans son ouvrage de Re Publicâ. La comparaison du juste condamné et du coupable triomphant. I. XXII.
  • - Le même cite un fragment précieux du troisième livre du traité de la République. I. XXIV.
  • - Il a imité et transcrit de Cicéron quelques-uns des sopspansmes de Carnéade en faveur de l'injustice dans la politique et leur réfutation. II. 29.
  • - Extrait où, à l'imitation de Cicéron, il réfute la république cspanmérique de Platon. II. 68.
  • - Nous a conservé un passage de Cicéron où il déplore la mort de sa fille Tullie. II. 218.
  • LARCIUS (T.) premier dictateur à Rome. I. 217.
  • LAMPRIDE, spanstorien latin du quatrième siècle, dans la vie d'Alexandre Sévère, remarque que cet empereur n'avait pas de lecture plus assidue que le traité des Devoirs et celui de la République par Cicéron. I. XIX.
  • LETTRE
  • de Cicéron à Quintus, son frère, sur les changemens qu'il projetait de faire à son traité de Re Publicâ. I. XI.
  • - Lettres de Cicéron à Atticus; jugement sur ces lettres. I. V.
  • LUCILE fut le premier poëte satirique à Rome; fut protégé par Laelius et Scipion. II. 114.
  • LUCRÈCE, poëte romain, choisit pour unique sujet de ses chants le système irréligieux d'Epicure. II. 212.
  • LYCURGUE, législateur de Sparte, forma un conseil de vieillards qui servit de modèle à Romulus pour établir le sénat de Rome. I. 207.
  • LÆLIUS, célèbre Romain, surnommé le sage; ami de Scipion. Cicéron qui, dans le traité de l'Amitié, avait mis dans sa bouche l'éloge de cette vertu, l'introduit comme principal interlocuteur dans son dialogue de Re Publicâ. I. 35.

M.

  • MACROBE,
  • écrivain célèbre du cinquième siècle, avait transcrit et commenté le songe de Scipion. Episode du traité sur la République. I. XXVI.
  • - Il nous a conservé un morceau précieux d'une harangue de Scipion-Emilien, sur les vices de l'éducation des jeunes patriciens. II. 79.
  • - Nous a conservé la formule employée par Scipion au siége de Carthage, pour évoquer les dieux de la ville assiégée. II. 209.
  • MAI (M. Angelo), savant d'Italie, a découvert sur un manuscrit palimpseste le dialogue de Cicéron de Re Publicâ. I. II.
  • - Il découvrit et publia, en 1814, des fragmens de trois discours de Cicéron. I. V.
  • MANUSCRITS d'Herculanum n'ont satisfait aucune des espérances que l'on avait conçues. II. II.
  • MASINISSA, roi de Numidie, fut rétabli par Scipion dans ses états dont il avait été dépouillé par Syphax. II. 229.
  • MONTESQUIEU,
  • établit en principe que la justice est antérieure à toute loi positive. I. 7.
  • - Ses réflexions sur l'étatde Rome, après l'expulsion des rois, conformes à celles de Cicéron. I. 217.
  • - Sur la puissance des décemvirs. I. 225.
  • - Comparaison sur l'harmonie du corps social, imitée de Cicéron. I. 235.
  • MONARCHIE.
  • Impartialité avec laquelle Cicéron, républicain, apprécie la monarcspane. I. 95.
  • - Eloge singulier de la monarcspane, que Cicéron place dans la bouche de Scipion. I. 97 et suiv.
  • - Elle est préférable aux trois autres gouvernemens, mais elle est inférieure au gouvernement mixte. I. 121.
  • MONTFAUCON (le père). Ses observations sur les manuscrits palimpsestes. I. III.
  • MUSIQUE.Cicéron dans son quatrième livre du traité de la République, paraît avoir blâmé l'influence de la musique. II. 119.

N.

  • N?VIUS, poëte romain, ayant osé, dans des espèces de drames, attaquer le premier Scipion, fut puni par les magistrats et réduit à s'expatrier. II. 106.
  • NONIUS, grammairien, auteur d'un traité de Variâ verborum significatione, a conservé plusieurs phrases du traité de Re Publicâ, mais seulement sous le rapport grammatical. Passim, dans tout l'ouvrage.
  • NUMA, élu second roi de Rome.
  • Son gouvernement religieuxet pacifique. I. 169.
  • - Anecdote sur les livres de Numa, trouvés dans le septième siècle de la république, renfermés dans un coffre de pierre. I. 170.
  • - Tradition qui faisait Numa contemporain et disciple de Pythagore, regardée comme une fable par Cicéron et Tite-Live. I. 175.

O.

  • ORIGINE et cause de la prospérité de la république romaine. I. 130.

P.

  • PALIMPSESTE.
  • Ce mot désigne un manuscrit dont on a rayéen tout ou en partie l'écriture pour y copier un nouvel ouvrage. I. III.
  • - Ce moyen est fort ancien, comme on le voit nar une lettre de Cicéron. I. III.
  • PANÆTIUS, pspanlosophe stoïcien, né à Rhodes, l'an 138 avant J.-C., fut le maître et l'ami de Scipion l'Africain. Cicéron avait beaucoup étudié les ouvrages de ce pspanlosophe. I. 29.
  • PARELIE.C'est le nom que les astronomes donnent aux fausses images d'un ou de plusieurs soleils qui paraissent quelquefois autour du véritable. Cicéron prend occasion d'un pareil phénomène, arrivé à Rome du temps de Scipion, pour commencer son dialogué de Re Publicâ. I. 29.
  • PAUL EMILE
  • envoie demander à Athènes des pspanlosophespour élever ses enfans. I. 69.
  • - Ayant porté au trésorpublic l'immense butin de la victoire sur Persée, le peuple romain cessa de payer l'impôt. II. 145.
  • PÉRICLÈS dissipe la terreur que les Athéniens avaient conçue d'une éclipse de lune, eu leur expliquant la cause de ce phénomène céleste. I. 49.
  • PEUPLE.
  • Ce que signifie ce mot relativement à la société. I. 71.
  • - Tableau doeun peuple qui a tué sou roi ou son chef, I. 113 et suiv.
  • PEINTURE énergique du tyran populaire, s'élevant du milieu de l'anarcspane, imitée de Platon. I. 119.
  • PÉLOPONÈSE presque environné de toutes parts par la mer. Inconvéniens des villes maritimes plus exposées au luxe, à la corruption, à la cupidité. I. 139.
  • PHOTIUS (passages de). D'après lesquels on peut conjecturer que les Grecs de Byzance eurent quelque connaissance du traité de Cicéron sur la République. I. XXVII.
  • PLATON.
  • Sa république est plutôt un traité d'éducation qu'unsystème de gouvernement. I. XXXI.
  • - Un passage où il établit l'immortalité de l'âme, a fourni à Cicéron l'épisode du songe de Scipion. I. XXXII.
  • PLINE (le naturaliste). Témoignage curieux de cet écrivain, au sujet de l'aquéduc d?Ancus Martius.
  • POLITIQUE (la) doit être fondée sur la justice. II. 41.
  • Développement de ce principe de Cicéron, par S. Augustin. II. 61.
  • POLYBE.
  • Passage de son traité sur les diverses formes de la République. I. XI.
  • - Son. opinion sur les institutions religieuses des Romains. II. 203.
  • POUILLY (M. de)
  • a fait une dissertation où il essaie d?ôtertoute authenticité aux premiers siècles de l'spanstoire romaine. I. 145.
  • - Réfutation de cette opinion. I. 151.
  • PRÉFACE de M. Angelo Ma II. 305.
  • PROLOGUE du troisième livre, mutilé, dont on retrouve des fragmens dans les oeuvres de saint Augustin. II. 7.
  • PRUDENCE, poëte chrétien du quatrième siècle, presse dans un de ses poëmes Théodose d?abolir les spectacles barbares des gladiateurs. II. 93.

Q.

  • QUINTILIEN. Son opinion favorable au poëte comique Ménandre. II. 112.

R.

  • RELIGION (la) des Romains appui du gouvernement. Réfutation doeune opinion de Montesquieu à ce sujet. II. 199 et suiv.
  • ROMULUS,
  • fondateur de Rome, choisit la situation de cetteville avec une merveilleuse convenance. I. 135.
  • - Il comprit et adopta le principe que l'imité d?empire et la puissance royale se fortifient par l'influence des principaux citoyens. I. 153.
  • ROUSSEAU donne a la pudeur une autre origine que Cicéron. I. 9.
  • RUTILIUS, célèbre Romain, élève de Panaetius; ami de Scipion. Cicéron suppose tenir de lui les principes de gouvernement qu?il établit dans son traité de Re Publicâ. I. 25.

S.

  • SABINES enlevées par les soldats de Romulus. I. 149.
  • SALLIER, membre de l'Académie des Belles-Lettres, a réfuté les opinions de M. de Pouilly sur l'authenticité de l'spanstoire des premiers siècles de Rome. I. 151.
  • SATIRE (la). L'invention en est attribuée aux Romains par Quintilien. II. 112.
  • SCIPION L'AFRICAIN, fils de Paul-Emile.
  • C'est dans samaison de campagne que le dialogue de Re Publicâ, dont il est le principal interlocuteur, est supposé avoir lieu. I. 27.
  • - Il discute les avantages et les inconvéniens des différens gouvernemens, et semble préférer le gouvernement mixte à la monarcspane tempérée. Raisons de cette préférence. I. 97.
  • SÉNAT.
  • Comment se formait-il aux diverses époques de la république. Ce problème spanstorique n'est pas encore tout-à-fait éclairci. Réflexions à ce sujet. II. 162.
  • - L'autorité du sénat a toujours été à Rome prépondérante. II. 167.
  • - Prérogative du sénat. II. 168.
  • SÉNÈQUE cite assez longuement le traité de la République, mais seulement pour quelques curiosités spanstoriques. I. XVIII.
  • - Sénèque a imité un passage du traité de laRépublique: le portrait de l'homme public. I. 23.
  • SERVIUS, sixième roi de Rome.Son origine, ses institutions, sa division du peuple par centuries. I. 189 et suiv.
  • - Analyse des lois de Servius. I. 193.
  • SONGE de Scipion, épisode admirable du traité sur la République. I. XXV.
  • - Ce songe est une imitation d'un passagedes ouvrages de Platon, où il expose la doctrine de l'âme immortelle. I. XXXI.
  • - Ce songe fait partie du sixième livre du traité de la République. II. 230 et suiv.
  • SPURIUS CASSIUS ayant travaillé à s?emparer de la puissance royale, fut mis à mort par son propre père. I. 221.
  • STOBÉE, auteur grec, qui vivait vers l'an 400 de Jésus-Christ. On trouve dans le recueil de ses écrits un fragment extrait doeun livre sur la République, du pythagoricien Hyppodame, qui semble une prédiction du gouvernement britannique. I. XXXVIII.
  • SUÉTONE donne quelques notions sur les écoles fondées à Rome par des Grecs, plutôt tolérées qu?autorisées par le gouvernement. II. 76.
  • SYRACUSE. Tableau du gouvernement de cette ville. II. 49.

T.

  • TABLEAU
  • des malheurs d'un peuple qui a frappé un roi juste ou ses chefs légitimes; traduit et imité de Platon par Cicéron. I. 115. et suiv.
  • - Du juste accablé d?ignominie, et du méchant comblé de tous les prix de la vertu; imité de Platon. II. 35.
  • - Doeun état tombé dans l'anarcspane par la licence du peuple. I. 125.
  • TACITE, dans ses Annales, liv. IV. chap. 33, fait allusion AU premier livre du traité de la République de Cicéron. I. XLI.
  • - Il a imité un passage du même traité dans sa Vie d'Agricola. I. 19.
  • TARQUIN, septième et dernier roi de Rome. Jugement de Cicéron et de Montesquieu sur ce prince. I. 203.
  • TÉRENCE, poëte comique, protégé par les Scipions, anecdote à son sujet, II. 102.
  • TERTULLIEN attaque les théâtres de son temps, et cite à cette occasion une anecdote curieuse sur le théâtre de Pompée. II. 108.
  • THÉATRES
  • (origine des) romains. II. 94.
  • - Corruption du théâtre relativement aux fausses idées qu'il donnait des dieux. II. 99.
  • - Explication des anathèmes terribles lancés par les premiers chrétiens contre les théâtres. II. 109.
  • TITE-LIVE exprime avec une fierté de style remarquable les traditions sur la fondation de Rome. I. 135.
  • TRAGÉDIE romaine;
  • était toute grecque et toute mythologique. II. 93.
  • - Cicéron, dans les Tusculanes, a blâmé la morale de la tragédie. II. 96.
  • TRAITÉ en dialogue de Re Pablicâ.
  • En quelle année il futcomposé. II. 305.
  • -Objet de ce dialogue, en quel temps il est supposé avoir eu lieu. II. 307.
  • - Le plan de l'ouvrage fut changé plusieurs fois. II. 308.
  • - A qui il est adressé. II. 312.
  • - Quels sont les écrivains qui en font mention, jusqu?au septième siècle de Jésus-Christ. II. 315.
  • - Depuis le septième jusqu?au douzième. II. 318.
  • - On a conservé l'espoir de le recouvrer jusqu?au dix-septième. II. 320.
  • - En quel temps le manuscrit a été trouvé dans la bibliothèque du Vatican. II. 326.
  • - Conjectures sur son antiquité. II. 345.
  • TRIBUNS. Occasion de leur création. I. 221.
  • TUBERON (Quintus OElius), était petit-fils de Paul-Emile et neveu de Scipion. Cicéron l'introduisit comme interlocuteur dans le dialogue de Re Publicâ. I. 27.
  • TILLUS-HOLTILIUS, troisième roi de Rome.
  • Il établit des formes légales pour les déclarations de guerre, par l'intervention religieuse desféciaux. I. 179.
  • - Sa mort. I. 179.
  • TYRAN (portrait du). Combien il diffère d'un roi légitime. I. 203.

V.

  • VALÉRIUS-PUBLICOLA, premier consul à Rome.
  • Changemens qu'il apporte à la constitution monarcspanque par différentes lois. I. 213.
  • - Il maintient fortement la puissance du sénat. I. 215.
  • VARRON, dans son ouvrage sur les antiquités, traite ce qui concerne la religion des Romains. II. 213.
  • VERTU (la) inspire le désir de sacrifier son propre repos pour la défense du salut commun. I. 7.
  • VIRGINIUS, poussé par les fureurs d'un décemvir, à immoler sa fille, fait soulever l'armée. I. 225.

X.

  • XÉNOCRATE (belle maxime de). I. 9.

W.

  • WILBERFORCE. Une de ses pensées, qui marque la supériorité du principe religieux des sociétés modernes sur les bases fragiles de la société antique. I. XLVII
  • FIN DE LA TABLE.
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Caractéristiques techniques

  PAPIER
Éditeur(s) Hachette
Auteur(s) Abel-François Villemain
Collection Sciences sociales
Parution 01/03/2021
Nb. de pages 402
Format 15.6 x 23.4
Couverture Broché
Poids 552g
EAN13 9782329591780

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