Résumé
Un voyage qui transporte deux jeunes héros sur un chantier de fouilles archéologiques, en Égypte. Un récit trépidant, teinté d'humour, qui mêle adroitement rigueur documentaire, enquête policière et aventure fantastique. Olivia se passionne pour l'Égypte ancienne. Elle a de la chance : son père est conservateur d'un musée consacré... à l'Égypte ancienne. Et les lieux sont en effervescence : Madja, la momie fétiche du musée, va être radiographiée pour une expertise scientifique. La nouvelle bouleverse Olivia, d'autant qu'elle reçoit le même jour un petit paquet expédié d'Égypte, qui contient une amulette dédiée à la déesse Isis, symbole de force et de magie. Son père est terrifié : il apprend à sa fille que sa mère a reçu une telle amulette juste avant de mourir. Une fois de plus, Olivia va être plongée dans une aventure extraordinaire. Tandis que les scientifiques arrivent et commencent à mettre en place le système pour radiographier la momie, Olivia ressent cet examen scientifique comme une agression physique envers la momie, et envers elle-même. Lorsque l'opération commence, une douleur intense envahit la jeune fille ; serrant dans sa main le noeud protecteur d'Isis, son talisman personnel, Olivia implore la déesse de mettre fin au massacre. Elle s'évanouit et une panne d'électricité plonge le musée dans l'obscurité. Suite à cet incident, une ronde de garde est organisée. Durant la nuit, Olivia est éveillée par une nouvelle prémonition, et décide de retourner auprès de Madja. Cachée dans la salle du musée, elle surprend Enzo, son vieil ennemi. Celui-là même qui cherche a mettre la main sur le légendaire secret d'Isis, et qui n'a pas hésité à tenter de tuer Olivia lors de son voyage en Égypte. Olivia découvre le plan diabolique : il projetait de kidnapper Olivia pour l'échanger contre la momie... Ce nouvel épisode des aventures d'Olivia mêle, dans un délicieux mélange, égyptologie, enquête policière et expérience fantastique. Trois registres parfaitement complémentaires. On retrouve avec plaisir l'univers d'Olivia : son père et son musée, son cousin Arthur, la chatte Bastet et... Enzo, découvert dans l'épisode précédent. On dit parfois que c'est la qualité des « méchants » qui fait les bons livres. Ici, on est servi. Enzo est le type même du « bon méchant », intelligent, machiavélique, obstiné, celui qui échoue dans ses projets mais qui parvient toujours à échapper à la justice.