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Oeuvres politiques
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Librairie Eyrolles - Paris 5e
Indisponible

Oeuvres politiques

Oeuvres politiques

Machiavel - Collection Sciences sociales

496 pages, parution le 01/01/2020

Résumé

Oeuvres politiques de Machiavel / traduction revue et corrigée
Date de l'édition originale : 1847

Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.
HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.
Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.
Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.
Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.
Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr

Sommaire

TABLE DES MATIÈRES.

LE PRINCE.

CHAPITRE Ier. - Combien il y a de sortes do principautés, et par quels moyens les acquiert-on?2
CHAPITRE II. - Des principautés héréditaires.3
CHAPITRE III. - Des principautés mixtes.3
CHAPITRE IV. - Pourquoi le royaume de Darius, conquis par Alexandre, resta à ses successeurs après sa mort.12
CHAPITRE V. - Comment il faut gouverner les villes ou les principautés qui, avant d'être conquises, se gouvernaient par leurs propres lois.15
CHAPITRE VI. - Des nouveaux États qu'un prince acquiert par sa valeur et ses propres armes.16
CHAPITRE VII. - Des principautés nouvelles qui s'acquièrent avec les forces et le secours d'autrui, ou qu'on doit à sa bonne fortune.20
CHAPITRE VIII. - De ceux qui, par des crimes, sont arrivés à la souveraineté.27
CHAPITRE IX. - Des principautés civiles.31
CHAPITRE X. - Comment on doit mesurer les forces des gouvernements.35
CHAPITRE XI. - Des principautés ecclésiastiques.36
CHAPITRE XII. - Des différentes espèces de milices et des soldats mercenaires.39
CHAPITRE XIII. - Des troupes auxiliaires, mixtes et nationales.44
CHAPITRE XIV. - Des devoirs d'un prince envers la milice.47
CHAPITRE XV. - Ce qui fait louer ou blâmer les hommes et surtout les princes.50
CHAPITRE XVI. - De la libéralité et de la parcimonie.51
CHAPITRE XVII. - De la cruauté et de la clémence, et s'il vaut mieux être aimé que craint.53
CHAPITRE XVIII- - Si les princes doivent être fidèles à leurs engagements.56
CHAPITRE XIX. - Il faut éviter d'être haï et méprisé.59
CHAPITRE XX. - Si les forteresses et autres moyens qui paraissent utiles aux princes le sont réellement.67
CHAPITRE XXI. - Par quels moyens un prince se fait estimer.71
CHAPITRE XXII. - Des ministres.74
CHAPITRE XXIII. - Comment on doit fuir les flatteurs.75
CHAPITRE XXIV. - Pourquoi les princes d'Italie ont perdu leurs États.77
CHAPITRE XXV. - Combien la fortune influe sur les choses de ce monde et comment on peut lui résister.79
CHAPITRE XXVI. - Exhortation à délivrer l'Italie des étrangers.81

DISCOURS SUR LA PREMIÈRE DÉCADE DE TITE-LIVE.

LIVRE PREMIER.

AVANT-PROPOS.87
CHAPITRE Ier. - Quels ont été les commencements des villes en général et surtout de Rome.89
CHAPITRE II. - Des différentes formes des républiques. Quelles furent celles de la république romaine.93
CHAPITRE III. - Des événements qui furent cause de la création des tribuns à Rome. Leur établissement perfectionna la constitution.100
CHAPITRE IV. - Que la désunion du sénat et du peuple a rendu la république romaine puissante et libre.101
CHAPITRE V. - A qui plus sûrement confier la garde de la liberté, aux grands ou au peuple? et lequel des deux cause plus souvent des troubles, de celui qui veut acquérir ou de celui qui veut conserver?103
CHAPITRE VI. - S'il était possible d'établir à Rome un gouvernement qui fit cesser les inimitiés qui existaient entre le sénat et le peuple.106
CHAPITRE VII. - Combien les accusations sont nécessaires dans une république pour y maintenir la liberté.111
CHAPITRE VIII. - Autant les accusations sont utiles dans une république, autant la calomnie y est pernicieuse.114
CHAPITRE IX. - Qu'il faut être seul pour fonder une république ou pour la réformer en entier.118
CHAPITRE X. - Qu'autant sont dignes d'éloges les fondateurs d'une république ou d'une monarcspane, autant méritent de blême les auteurs d'une tyrannie.120
CHAPITRE XI. - De la religion des Romains.124
CHAPITRE XII. - Qu'il est important de faire grand cas de la religion. L'Italie a été perdue pour avoir, par les intrigues de la cour de Rome, manqué à cette maxime.128
CHAPITRE XIII. - Comment les Romains se servaient de la religion pour établir les lois, favoriser leurs entreprises et arrêter les séditions.131
CHAPITRE XIV. - Que les Romains interprétaient les auspices suivant le besoin qu'ils en avaient; qu'ils mettaient infiniment de prudence à paraître observer leur religion dans les occasions même où ils étaient forcés à son observance; qu'ils punissaient quiconque avait la témérité de la mépriser.133
CHAPITRE XV. - Comment les Samnites, dans une occasion désespérée, ont recours à la religion.135
CHAPITRE XVI. - Qu'un peuple accoutumé à vivre sous un prince conserve difficilement sa liberté, si par hasard il devient libre.137
CHAPITRE XVII. - Un peuple corrompu qui devient libre peut bien difficilement conserver sa liberté.141
CHAPITRE XVIII. - De quelle manière, dans un État corrompu, on pour rait conserver un gouvernement libre s'il y existait déjà, ou l'y introduire s'il n'y existait pas auparavant.143
CHAPITRE XIX. - Qu'un État qui a un excellent commencement peut se soutenir sous un prince faible; mais sa perte est inévitable quand le successeur de ce prince faible est faible comme lui.147
CHAPITRE XX. - Qu'une succession de deux grands princes produit de grands effets, et que, comme les républiques bien constituées ont nécessairement une succession d'hommes vertueux, elles doivent s'étendre et s'augmenter considérablement.149
CHAPITRE XXI. - Combien méritent d'être blâmés ou le prince ou la république qui n'ont point d'armée nationale.150
CHAPITRE XXII. - Ce qu'il y a de remarquable dans le combat des Horaces et des Curiaces.151
CHAPITRE XXIII. - Qu'on ne doit pas hasarder toute sa fortune sans employer toutes ses forces, et que pour cela souvent il est dangereux de se borner à garder des passages.152
CHAPITRE XXIV. - Les républiques bien constituées décernent des ré compenses et des peines, et ne compensent jamais les unes par les autres.155
CHAPITRE XXV. - Que si l'on veut changer la constitution d'un État libre, on doit au moins conserver quelque ombre de ses anciennes institutions.156
CHAPITRE XXVI. - Qu'un prince nouvellement établi dans une ville ou dans une province conquise doit tout renouveler.157
CHAPITRE XXVII. - Que les hommes sont rarement tout bons ou tout mauvais.158
CHAPITRE XXVIII. - Pourquoi les Romains furent moins ingrats envers leurs concitoyens que ne le fut le peuple d'Athènes envers les siens.159
CHAPITRE XXIX. - Quel est le plus ingrat, d'un peuple ou d'un prince?161
CHAPITRE XXX. - Quels moyens doivent employer un prince eu une république pour éviter le vice de l'ingratitude, et comment un général ou un citoyen peuvent éviter d'en être les victimes.164
CHAPITRE XXXI. - Que les généraux romains ne furent jamais punis rigoureusement pour des fautes commises; ils ne le furent même pas quand leur ignorance et leurs mauvaises opérations occasionnèrent les plus grands dommages à la république.166
CHAPITRE XXXII. - Qu'une république ou un prince ne doivent pas différer quand il s'agit de subvenir aux besoins de leurs sujets.168
CHAPITRE XXXIII. - Quand le mal est parvenu au plus haut période dans un État, il est plus sage de temporiser que de heurter de front.169
CHAPITRE XXXIV. - Que la dictature lit toujours du bien et jamais de mal à la république romaine. C'est l'autorité dont les citoyens s'emparent qui nuit à la liberté, et non celle qui est conférée par les suffrages libres du peuple.172
CHAPITRE XXXV. - Pourquoi dans Rome la création des décemvirs fut-elle nuisible à la liberté, quoiqu'ils eussent été nommés par les suffrages libres du peuple.175
CHAPITRE XXXVI. - Que les citoyens qui ont été revêtus des plus grands emplois ne doivent pas dédaigner les moindres.177
CHAPITRE XXXVII. - Des mouvements causés à Rome par la loi agraire; qu'il est très-dangereux dans une république de faire une loi qui fasse revenir sur le passé et qui détruise une ancienne coutume de l'État.178
CHAPITRE XXXVIII. - Les républiques faibles sont irrésolues et ne savent ni délibérer ni prendre un parti. Si quelquefois elles en prennent un, c'est plus par nécessité que par choix.181
CHAPITRE XXXIX. - Les mêmes accidents arrivent quelquefois chez des peuples bien différents.184
CHAPITRE XL. - La création du décemvirat à Rome est ce qu'il faut y remarquer; comment le même accident peut sauver ou perdre une république.186
CHAPITRE XLI. - Il est aussi imprudent qu'inutile de passer sans gradation et de sauter, pour ainsi dire, de la modestie à l'orgueil, de la douceur à la cruauté.192
CHAPITRE XLII. - Combien les hommes peuvent aisément se corrompre.193
CHAPITRE XLIII. - Ceux qui combattent pour leur propre gloire sont bons et fidèles soldats.193
CHAPITRE XLIV. - Une multitude sans chef ne peut rien faire, et ne doit pas se porter à des menaces avant de s'être emparée de l'autorité.194
CHAPITRE XLV. - Il est de mauvais exemple de ne pas observer une loi, surtout de la part de ceux qui l'ont faite, et rien de plus dangereux pour ceux qui gouvernent une ville que de renouveler chaque jour les reproches et les punitions de torts anciens.195
CHAPITRE XLVI. - Les ambitieux ne s'arrêtent jamais. On songe d'abord à se défendre et ensuite à attaquer.197
CHAPITRE XLVII. - Que les hommes, quoique sujets à se tromper dans les choses générales, ne se trompent pas dans les particulières.199
CHAPITRE XLVIII. - Qui veut empêcher qu'une magistrature soit déférée à un homme vil et méchant doit la faire demander par un homme plus vil et plus méchant encore, ou par ce qu'il y a dans l'État de plus illustre et de plus vertueux.203
CHAPITRE XLIX. - Si les villes libres dès leur origine, comme Rome, ont de la difficulté à trouver des lois qui les maintiennent en liberté, celles qui sont nées dans la servitude éprouvent l'impossibilité d'y réussir.203
CHAPITRE L. - Nul consul, nul magistrat ne doit pouvoir arrêter la marche des affaires dans un État.206
CHAPITRE LI. - Une république ou un prince doit être porté à faire par générosité ce à quoi la nécessité contraint.207
CHAPITRE LII. - Pour réprimer les excès et le danger d'un ambitieux en crédit dans une république, le plus simple et le plus sûr moyen est d'occuper avant lui le chemin qui le conduit à son but.208
CHAPITRE LIII. - Un peuple désire souvent sa ruine, trompé par une fausse apparence de bien, et on le séduit facilement par des promesses magnifiques.210
CHAPITRE LIV. - Combien est puissante l'autorité d'un grand homme pour calmer une multitude effrénée.214
CHAPITRE LV. - Combien il est aisé de faire marcher toutes choses dans une république où le peuple n'est pas encore corrompu; où l'égalité règne, il ne peut y avoir de monarcspane; où l'égalité ne se trouve pas, il ne peut y avoir de république.215
CHAPITRE LVI. - Les grands changements qui arrivent dans un État sont toujours pronostiqués par des événements ou prédits.219
CHAPITRE LVII. - Le peuple en masse est courageux; désuni, il devient faible.220
CHAPITRE LVIII. - Un peuple est plus sage et plus constant qu'un prince.222
CHAPITRE LIX. - A qui, d'un peuple ou d'un prince, peut-on se lier davantage comme allié?227
CHAPITRE LX. - Le consulat et toute autre magistrature à Rome se donnaient sans distinction d'âge.229

LIVRE SECOND.

CHAPITRE AVANT-PROPOS.231
CHAPITRE Ier. - Laquelle a le plus contribué à la grandeur de l'empire romain, de la vertu ou de la fortune?235
CHAPITRE II. - Quels furent les peuples que les Romains eurent à combattre, et combien ils furent opiniâtres à défendre leur liberté.239
CHAPITRE III. - Rome s'agrandit en ruinant les villes voisines et en accordant facilement aux étrangers la qualité de citoyens.245
CHAPITRE IV. - Les républiques ont employé trois moyens pour s'agrandir.247
CHAPITRE V. - Les changements de religion et de langue, les déluges et les pestes effacent la mémoire des choses.252
CHAPITRE VI. - Comment les Romains faisaient la guerre.254
CHAPITRE VII. - Quelle quantité de terrain les Romains accordaient-ils à chaque colon?256
CHAPITRE VIII. - Pour quelles raisons les peuples abandonnaient-ils leur patrie pour se répandre dans les pays étrangers?257
CHAPITRE IX. - Quelles sont les causes ordinaires de guerre entre les souverains.260
CHAPITRE X. - L'argent n'est pas le nerf de la guerre, quoique ce soit l'opinion générale.262
CHAPITRE XI. - Il n'est pas sage de s'allier avec un prince qui a plus de réputation que de force.266
CHAPITRE XII. - Vaut-il mieux, lorsqu'on craint d'être attaqué, porter la guerre chez son ennemi que de l'attendre chez soi?267
CHAPITRE XIII. - Pour s'élever d'un état médiocre à une grande fortune, la ruse sert plus que la force.271
CHAPITRE XIV. - Les hommes se trompent bien souvent en croyant qu'à force de soumission on désarme la hauteur.274
CHAPITRE XV. - Les États faibles sont toujours indécis, et la lenteur à se déterminer est toujours nuisible.275
CHAPITRE XVI. - Combien les armées modernes diffèrent des anciennes.278
CHAPITRE XVII. - Comment on doit apprécier l'artillerie dans nos armées modernes, et si l'opinion qu'on en a généralement est fondée en raison.282
CHAPITRE XVIII. - Il est prouvé par l'exemple des Romains qu'on doit faire plus de cas de l'infanterie que de la cavalerie.289
CHAPITRE XIX. - Les acquisitions d'une république mal constituée, et qui ne prend pas pour modèle de conduite celle des Romains, la mènent plutôt à sa ruine qu'à un accroissement de puissance.294
CHAPITRE XX. - A quel péril s'exposent les princes ou les républiques qui se servent de troupes auxiliaires ou mercenaires.299
CHAPITRE XXI. - Le premier préteur que les Romains envoyèrent hors de Rome fut demandé par Capoue.301
CHAPITRE XXII. - Combien sont souvent erronés les jugements que les hommes portent des grandes choses.303
CHAPITRE XXIII. - Combien les Romains évitaient les partis moyens à l'égard de leurs sujets, quand ils croyaient avoir une décision à prendre.306
CHAPITRE XXIV. - Les forteresses sont en général plus nuisibles qu'utiles.311
CHAPITRE XXV. - C'est prendre un mauvais parti que de profiter de la désunion qui règne dans une ville pour l'attaquer et s'en rendre maître.319
CHAPITRE XXVI. - Les témoignages de mépris et les injures n'attirent que de la haine sans profit pour qui les emploie.320
CHAPITRE XXVII. - Les princes et les républiques sages doivent se con tenter de vaincre, car on perd parfois tout à vouloir trop gagner.322
CHAPITRE XXVIII. - Combien il est dangereux pour une république ou pour un prince de ne pas venger les torts faits au public ou aux particuliers.325
CHAPITRE XXIX. - La fortune aveugle l'esprit des hommes quand elle ne veut pas qu'ils s'opposent à ses desseins.327
CHAPITRE XXX. - Les républiques et les princes vraiment puissants n'achètent pas des alliés à prix d'argent; c'est par leur courage et la réputation de leurs forces qu'ils se les attirent.330
CHAPITRE XXXI. - Il est dangereux de se fier à des exilés.334
CHAPITRE XXXII. - De quelle manière les Romains attaquaient les villes.335
CHAPITRE XXXIII. - Les Romains laissaient leurs généraux parfaitement maîtres de leurs opérations.339

LIVRE TROISIÈME.

CHAPITRE Ier. - Veut-on qu'une religion ou une république durent longtemps, il faut les ramener souvent à leur principe.341
CHAPITRE II. - Combien il y a de sagesse à jouer pour un temps la folie.346
CHAPITRE III. - Il est nécessaire, pour maintenir une liberté nouvellement acquise, de sacrifier, comme Brutus, jusqu'à ses enfants.348
CHAPITRE IV. - Un prince ne peut vivre en sûreté dans un État tant que vivent ceux qu'il en a dépouillés.349
CHAPITRE V. - Qu'est-ce qui fait perdre le trône à un roi qui en jouit par succession?351
CHAPITRE VI. -Des conspirations.352
CHAPITRE VII. - Le passage de la liberté à la servitude et de la servitude à la liberté coûte quelquefois beaucoup de sang; aussi quelquefois il se fait sans coup férir.376
CHAPITRE VIII. - Quiconque veut opérer des changements dans une république doit étudier l'état où elle se trouve.377
CHAPITRE IX. - Il faut changer les temps, si l'on veut toujours avoir des succès.380
CHAPITRE X. - Un général ne peut éviter une bataille lorsque l'ennemi veut la livrer à quelque prix que ce soit.383
CHAPITRE XI. - Quiconque a beaucoup d'ennemis à combattre est sûr de les vaincre, quoiqu'il leur soit inférieur en force, s'il peut soutenir leur premier effort.387
CHAPITRE XII. - Comment un habile général doit mettre ses soldats dans la nécessité de combattre, et ôter à l'ennemi tous les moyens d'action.389
CHAPITRE XIII. - Qui doit inspirer plus de confiance, ou d'un bon général qui a une mauvaise armée, ou d'une bonne armée commandée par un mauvais général'393
CHAPITRE XIV. - Effet que produisent au milieu d'une bataille des stratagèmes nouveaux et des paroles imprévues.395
CHAPITRE XV. - Il ne faut à une armée qu'un seul chef.398
CHAPITRE XVI. - Dans les temps difficiles on recherche le mérite et la vertu; mais, quand tout est paisible, la faveur est, non pour les hommes habiles et vertueux, mais pour ceux qui ont ou des richesses ou des parents puissants.400
CHAPITRE XVII. - Un État, après avoir offensé un citoyen, ne doit pas lui confier un commandement ou toute autre mission importante.402
CHAPITRE XVIII. - Le plus grand mérite d'un habile général est de savoir deviner les desseins de l'ennemi.404
CHAPITRE XIX. - Les voies de la douceur sont-elles préférables aux voies de la rigueur pour gouverner la multitude?406
CHAPITRE XX. - Un trait d'humanité lit plus d'impression sur les Falisques que toute la puissance des Romains.408
CHAPITRE XXI. - Pourquoi Annibal, avec une conduite opposée à celle de Scipion, eut en Italie les mêmes succès que le général romain en Espagne.409
CHAPITRE XXII. - Comment la sévérité de Manlius Torquatus et la douceur de Valérius Corvinus les couvrirent également de gloire.412
CHAPITRE XXIII. - Causes du bannissement de Camille.418
CHAPITRE XXIV. - La prolongation du commandement militaire fit perdre à Rome sa liberté.419
CHAPITRE XXV. - Pauvreté de Cincinnatus et de plusieurs citoyens romains.420
CHAPITRE XXVI. - Comment les femmes sont la cause de la ruine d'un État.423
CHAPITRE XXVII. - Moyen de rétablir l'union dans une ville. Il est faux que la désunion soit nécessaire pour y conserver l'autorité.424
CHAPITRE XXVIII. - On doit surveiller les actions des citoyens, parce que souvent celle qui paraît vertueuse recèle un principe de tyrannie.427
CHAPITRE XXIX. - Les fautes des peuples viennent de celles des princes.428
CHAPITRE XXX. - Un citoyen qui veut être utile à sa république par quelque action particulière doit d'abord imposer silence à l'envie. Moyen de défendre une ville à l'approche d'un ennemi qui la menace.430
CHAPITRE XXXI. - Les grands hommes et les républiques bien constituées conservent le même courage au sein de la prospérité que dans les revers.433
CHAPITRE XXXII. - Moyens employés pour rendre la paix impossible.437
CHAPITRE XXXIII. - Pour gagner une bataille, il faut que les troupes soient remplies de confiance, soit en elles-mêmes, soit en leur général.438
CHAPITRE XXXIV. - Comment la réputation, la voix publique, concilient d'abord à un citoyen la faveur populaire. Le peuple fait-il de meilleurs choix que les princes?441
CHAPITRE XXXV. - Le danger de conseiller une entreprise est toujours proportionné à la grandeur de cette entreprise.444
CHAPITRE XXXVI. - Pourquoi a-t-on regardé les anciens Gaulois et regarde-t-on encore les Français comme étant plus que des hommes au commencement d'un combat et moins que des femmes vers la fin?447
CHAPITRE XXXVII. - De petits combats sont-ils nécessaires avant d'en venir à une action générale? Si on veut les éviter, comment faut-il s'y prendre pour connaître un ennemi auquel on a affaire pour la première fois?449
CHAPITRE XXXVIII. - Qualités nécessaires à un général pour obtenir la confiance de ses soldats.452
CHAPITRE XXXIX. - Il faut qu'un général connaisse le pays où il fait la guerre.454
CHAPITRE XL. - En temps de guerre, la ruse mérite des éloges.457
CHAPITRE XLI. - Tous moyens sont bons pour défendre la patrie.458
CHAPITRE XLII. - Les conditions arrachées par la force ne doivent point être observées.459
CHAPITRE XLIII. - Les habitants d'un pays conservent toujours à peu près le même caractère.460
CHAPITRE XLIV. - L'audace et la précipitation emportent souvent ce que l'on n'obtiendrait point par des moyens ordinaires.462
CHAPITRE XLV. - Est-il plus avantageux de soutenir d'abord le choc de l'ennemi et de l'attaquer ensuite vivement, que de commencer le combat avec impétuosité?464
CHAPITRE XLVI. - Pourquoi le même caractère se conserve-t-il assez longtemps dans les familles?464
CHAPITRE XLVII. - L'amour de la patrie doit faire oublier à un bon citoyen les inimitiés particulières.466
CHAPITRE XLVIII. - Une faute trop marquée et trop grossière de la part de l'ennemi doit faire soupçonner un piège.466
CHAPITRE XLIX. - Une république qui veut se conserver libre doit prendre chaque jour de nouvelles précautions. Services qui méritèrent à Quintus Fabius le surnom de Maximus.467
FIN.
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Caractéristiques techniques

  PAPIER
Éditeur(s) Hachette
Auteur(s) Machiavel
Collection Sciences sociales
Parution 01/01/2020
Nb. de pages 496
Format 15.6 x 23.4
Couverture Broché
Poids 679g
EAN13 9782329367590

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