Résumé
- Les paresseux sont-ils de grands enfants qui refusent d'être des adultes responsables ? - Y a-t-il de bonnes et de mauvaises colères ? - Du "trop" ou du "trop peu" de luxure, lequel est le plus dangereux ? - Les gens orgueilleux sont-ils des gens qui se prennent trop au sérieux ? - L'envie peut-elle être un moteur qui nous incite à faire toujours mieux ? - Est-on gourmand pour compenser un manque ou n'est-ce pas simplement un grand appétit de vivre? - Naît-on avare ou le devient-on ? - Les paresseux sont-ils de grands enfants qui refusent d'être des adultes responsables ? - Y a-t-il de bonnes et de mauvaises colères ? - Du "trop" ou du "trop peu" de luxure, lequel est le plus dangereux ? - Les gens orgueilleux sont-ils des gens qui se prennent trop au sérieux ? - L'envie peut-elle être un moteur qui nous incite à faire toujours mieux ? - Est-on gourmand pour compenser un manque ou n'est-ce pas simplement un grand appétit de vivre? - Naît-on avare ou le devient-on ? Paresse, colère, luxure, orgueil, envie, gourmandise, avarice. Sinistre nomenclature. Septuor de vilenies sordides. Bruit moralisateur fossile venu du fond des âges. Ces turpitudes de l'âme ancrées dans la tradition judéo-chrétienne, intéressent-elles encore les hommes et les femmes de l'âge de toutes les modernités ? Les peaux de bananes que jette sous nos semelles l'Immonde Tentateur, concernent-elle une psychologie du bonheur ? Sans doute ! Elle s'autorise d'ailleurs à y ajouter trois "péchés" ; mensonge, préjugé, manipulation, qui, pour n'être point capitaux, n'en sont pas moins capiteux, puisqu'ils montent à la tête comme un "Châteaux Margaux" millésimé.
Illustré par le caricaturiste SERDU, écrit dans un style vif, alerte, incisif, frondeur, cet ouvrage allie le sérieux et l'humour. Ou, mieux, s'allie le sérieux de l'humour. Il joue avec les mots d'esprit et d'humeur, sans jamais se jouer du lecteur. Traduisant en langage "psy", les obsessions séculaires des moralistes, il nous aide à mieux nous connaître, à comprendre le monde humain que nous habitons, pour le pire
et le meilleur.