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Superstitions anciennes et modernes, prejugés vulgaires qui ont induit les peuples à des usages
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Librairie Eyrolles - Paris 5e
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Superstitions anciennes et modernes, prejugés vulgaires qui ont induit les peuples à des usages

Superstitions anciennes et modernes, prejugés vulgaires qui ont induit les peuples à des usages

Et à des pratiques contraires à la religion. tome 1

Pierre Lebrun, Jean-Baptiste Thiers, Jean-Frédéric Bernard - Collection Littératures

398 pages, parution le 01/02/2021

Résumé

Superstitions anciennes et modernes : prejugés vulgaires qui ont induit les peuples à des usages & à des pratiques contraires à la religion. Tome 1
Date de l'édition originale : 1733-1736

Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.
HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.
Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.
Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.
Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.
Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr

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Sommaire

TABLE DES CHAPITRES

LIVRE PREMIER.

CHAPITRE I. Que la Superstition ruine la Foi de l'Eglise et le Culte de Dieu. Ce que c'est que la Superstition. Qu?elle est condamnée par le premier Commandement de la Loy. Qu'elle suppose de necessité un pacte tacite ou exprès avec le Demon avec lequel nous n en devons avoir aucun.pag. 1.
CHAP. II. Sentiment d?Origene, ou de Jean de Jerusalem, de saint Gaudence, du quatrième Concile de Carthage, de saint Augustin de saint Eloy, sur les Superstitions.3
CHAP. III. Sentimens du sixième Concile de Paris en 829. Des Canons Penitentiaux, du Concile de Palence en 1322. et de la Faculté de Theologie de Paris, sur les Superstitions.4
CHAP. IV. Sentiment du Concile Provincial de Rouen en 1445. du Cardinal de Cufa, de Leon X. des Statuts Synodaux de Paris en 1515. du Synode de Sens en 1524. du Concile Provincial de Bourges en 1528 et d'Adrien VI. sur les Superstitions.7
CHAP. V. Sentimens du Synode d?Ausbourg en 1548. du Concile de Trente, du Concile Provincial de Narbonne en 1551. de Monluc, Evêque de Valence et de Die, du Synode, de Chartres en 1559. du Concile Provincial de Cambray, et du premier Concile Provincial de Milan en 1565. sur les Superstitions.9
CHAP. VI. Sentimens du quatrième Concile Provincial de Milan en 1576. de Jean François Bonhomme, Evêque de Verceil, de l'Assemblée de Melun en 1579. de Thou, Evêque de Chartres, du Concile Provincial de Reims, de celui de Bourde aux de celui de Tours en 1583. de Sixte V. du Concile Provincial de Toulouse en 1590. de celui d?Aquilée en 1596. de Jean Baptiste de Constanze, Archevêque de Cozence, du Concile Provincial de Malines en 1607. et de celui de Narbonne en 1609. sur les Superstitions10
CHAP. VII. Sentimens du Synode d'Anvers en 1610. de celui de Ferrare en 1612. de Mr. le Gouverneur, Evêque de saint Malo, et de Gregoire XV. sur les Superstitions.11
CHAP. VIII. Sentimens des Statuts Synodaux de Cahors, de Grasse et de Vence, de Beauvais, de Sens, de Namur, d'Evreux, de Geneve, d?Agen, et de Noyon, et du nouveau Rituel de Reims, sur les Superstitions.14
CHAP. IX. Que les Superstitions font des Cas reservez aux Evêques. Qu?elles causent de grands maux à ceux qui les observent. Trois regles generales, par les quelles on peut reconnoître quoeune chose est superstitieuse. Que les Ceremonies de l'Eglise ne font nullement superstitieuses.16
CHAP. X. Quatrième Regle generale par laquelle on peut reconnoître quoeune chose est superstitieuse. Ce que c?est quoeun pacte exprès et un pacte tacite avec le Demon, et en combien de manieres loeun et l'autre se peuvent faire.18

LIVRE S ECON D.

CHAP. I. Du culte indû, pernicieux ou faux, En quoi consiste ce culte. Qu?il est Superstitieux. Que ceux qui proposent de faux Miracles, de fausses Revelations, de fausses Reliques, de fausses Images et de faux Saints, tombent dans cette Superstition.21
CHAP. II. Du Culte superflu. Ce que c?est. Qu?il est superstitieux Qu?il n?y a point de peché mortel dans ce Culte, à moins qu?il ne soit accompagné de mépris ou de scandale. Exemple de ce Culte.25
CHAP. III. De l'Idolatrie. Ce Que c'est. Que c?est une espece de Superstition, le plus grand de tous les pechez. Qu'on est Idolatre, quand on fait un pacte tacite, ou un pacte exprès avec les Demons.26
CHAP. IV. De la Magie. Ce que c'est. Qu?il y en a de trois sortes. Que la Magie noire ou diabolique est une espece de Superstition. Qu'elle est condamnée par les Loix divines et humaines, aussi-bien que ceux qui en font profession. Paroles remarquables d'Agrippa touchant les Magiciens. Que les Magiciens sont coupables de quinze crimes énormes.27
CHAP. V. Du malefice. Ce que c?est. Que c'est une espece de Superstition et un peché doublement mortel. Qu'on se peut servir du malefice en sept manieres. Qu?il y a de trois fortes de malefices. Exemples de divers malefices. Que les malefices font condamnez par l'Ecriture, par les Conciles, par les Peres et par les Loix Civiles. Qu'il n?est pas permis d?ôter un malefice par un autre malefice Que les Sorciers en ôtant un malefice à une personne ou à un animal, le donnent à un autre. Quelles sont les armes dont nous devons nous servir contre les malefices. Exemples de diverses pratiques superstitieuses, pour ôter les malefices.30

LIVRE TROISIEME.

CHAP. I. De la Divination en general. Ce que c'est. Que celle qui se fait en vertu doeun pacte avec le Demon, est superstitieuse et condamnée par l'Ecriture, par les Conciles, par les Peres, par les Prelats de l'Eglise, et par les Empereurs Chrétiens. Que la Divination est un peché mortel.36
CHAP. II. De la Divination des Augures ou Auspices. Ce que c'est. Qu?il y a des Augures naturels, et des Augures artificiels. Que ces premiers sont permis, mais que les derniers sont defendus par l'Ecriture, parles Conciles, et par les Peres de l'Eglise40
CHAP. III. De la Divination des évenemens ou des rencontres. En quoi elle consiste précisément. Qu'elle est condamnée par les Conciles, par les Per es par les Prélats de l'Eglise. Exemples de cette Superstition.42
CHAP. IV. De la Divination qui se fait par les noms ou par les Armes des Cardinaux durant la vacance du saint Siege. De celles qui se font par le moyen de l'Astrolabe, doeun sas, ou d'un crible, doeune hache, ou doeun anneau. De la Physionomie et de la Cspanromantie.44
CHAP. V. De la Divination qui se fait par les songes. Qu'il y a de quatre fortes de songes. Que la Divination des songes est superstitieuse. Qu?elle est condamnée par l'Ecriture, par les Conciles, et par les Ecrivains Ecclesiastiques. Exemples de cette Divination46
CHAP. VI. De la Divination qui se fait par le sort. Qu'il y a de trois sortes de Sorts; le 1. de division ou de partage; le 2. de consultation; et le 3. de divination. Que les deux premiers sont permis avec certaines conditions. Que le dernier est presque toûjours un peché mortel, et que c?est pour cela qu?il est condamné par les Conciles et par les Peres, aussi bien que les Sortileges et les Sorciers47
CHAP. VII. De l'Astrologie judiciaire. En quoi consiste cette espece de Divination. Qu'elle est defenduë par les Loix divines humaines, Ecclesiastiques et Civiles. D'où vient que les Astrologues et les autres Devins disent quelquefois la verité. Qu'encore qu'ils disent la verité, nous ne les devons pas plus croire pour cela.50

LIVRE QUATRIEME.

CHAP. I. De la vaine observance en general. Ce que c'est. Que c?est une Superstition. Pourquoi elle s'appelle vaine. Qu?elle ne se pratique gueres fans peché mortel ou veniel. Qu'il y a deux regles certaines par lesquelles on peut la reconnoître. Divers exemples de cette Superstition.55
CHAP. II. De l'Art notoire. Ce que c?est, et quel est l'usage que l'on en fait. Qu'il est Superstitieux De l'Art de S. Paul. De l'Art des Esprits ou de l'Art Angelique.57
CHAP. III. De l'observance des jours, des mois, des teins et des années. En quoi elle consiste Qu'elle est superstitieuse et condamnée comme telle par l'Ecriture, par les Conciles et par les Saints. Peres. Divers exemples de cette Superstition.59
CHAP. IV. De l'observance des choses sacrées ou des Reliques. Ce que c?est. En quoi on peut reconnoître qu'elle est Superstitieuse. Exemples de cette observance. Du port des Reliques et des Evangiles.64
CHAP. V. De l'observance des santez. En quoi elle consiste. Qu'elle regarde aussi-bien la santé des animaux que celle des hommes. Qu'elle est superstitieuse Qu'elle est quelquefois un peché veniel, et quelquefois un peché mortel. Qu'elle est condamnée par les regles de l'Eglise.66

LIVRE CINQUIEME.

CHAP. I. Des Phylacteres ou préservatifs en general. Des diverses acceptions du mot de Phylactere. Que les Phylacteres font des remedes superstitieux condamnez par les Conciles et par les Peres de l'Eglise.69
CHAP. II. De quelques Phylacteres qui se font sans paroles. Des Talismans et des Gamahez. Des Plaques caracterizées, etc.71
CHAP. III. Des Anneaux superstitieux. Des Anneaux. De la corde de pendu, du Trefle à quatre feuilles et du coeur d'spanrondelle. Des ceintures d?herbes. Des nerfs, des os, des pellicules, des herbes et des racines renfermées dans du cuir. Des pieces teintes, et du poil d'Ours. De la coëffe des enfans nouvellement nez. Des oeufs de poules pondus le Vendredi-Saint, et du pain cuit le même-jour. De la figure d?Alexandre le Grand, etc.76
CHAP. IV. Exemples de diverses pratiques superstitieuses que l'on peut mettre au rang des Phylacteres ou preservatifs sans paroles, et dont on se sert pour procurer la santé aux hommes et aux bêtes, pour être heureux, ou pour éviter quelque mal, quelque danger ou quelque perte.78
CHAP. V. Que les paroles, quelles qu?elles soient, n?ont nulle vertu naturelle pour guérir les maladies des hommes et des bêtes, ni pour les préserver d?aucun danger. Sentimens de Leonard Vair, d?Anne Robert et de du Laurent sur ce sujet82
CHAP. VI. Que les Phylacteres ou préservatifs qui se font avec des paroles, soit qu?elles ne signifient rien, ou qu?elles signifient quelque chose, font superstitieux. Qu?ils sont condamnez par les Conciles et par les Peres. Exemples de divers préservatifs avec paroles. Des Billets ou Brevets. Qu'ils ne sont pas moins illicites que les autres préservatifs. Des Lettres qu?on appelle de Liberté. Qu'elles sont superstitieuses85

LIVRE SIXIEME.

CHAP. I. Des charmes ou enchantemens. Ce que c?est. Ce que c?est quoeun charmeur ou un enchanteur. Que tout charme est de soy un peché mortel. Exemples de divers charmes. Que ceux qui se font avec des paroles qui ne signifient rien, aussi-bien que ceux qui se font avec des paroles qui signifient quelque chose, sont superstitieux et condamnez comme tels par l'Ecriture, par les Conciles, et par les Peres.90
CHAP. II. Des Exorcismes ou Conjurations, des Benedictions ou Oraisons, pour guérir les maladies des hommes des bêtes; pour les préserver de danger, pour chasser les rats et les souris, les taupes, les mulots, les serpens, les sauterelles, les chenilles, etc. pour détourner les orages, les vents, les tempêtes, les ouragans, etc. Que ces Exorcismes sont de veritables charmes. Qu?ils sont condamnez par l'Eglise.95
CHAP. III. Que les Conciles, les Peres et les Theologiens, la Medecine et les Loix Civiles condamnent la guérison des maladies qui se fait par paroles et par Oraisons.103
CHAP IV. De la grace de guérir les maladies. Si les Sauveurs ou Enchanteurs Espagnols, si les Parens de sainte Catherine, si ceux de saint Paul, si ceux de saint Roch, si ceux qui pratiquent l'art de saint Anselme, si les enfans nez le Vendredi-Saint, si les septièmes garçons, si les aînez de la famille du Baron d'Aumont, si les septièmes filles, si les enfans posthumes, si les bourreaux, si ceux qui sont de la race de S. Hubert, ou qui ont été taillez de son Etole, si les parens de saint Martin, si ceux qui sont de la Maison de Coutance, si certaines familles de Provence ont cette grace; ce qu'on en doit croire. Que les Rois de France l'ont pour les Ecrouelles.104
CHAP. V. Refutation des vaincs excuses qu'apportent ordinairement ceux qui consultent les Devins; qui font venir les Sorciers ou les Charmeurs chez eux pour ôter les malefices ou les charmes; qui portent des Préservatifs, des Ligatures ou des Brevets, etc. qui disent ou qui font dire des Oraisons pour guérir les autres ou pour se guerir eux-mêmes de leurs maladies, et qui se servent d'autres pratiques superstitieuses. Avec combien de soin les Ecclesiastiques doivent veiller, afin de déraciner ces pratiques.109
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Caractéristiques techniques

  PAPIER
Éditeur(s) Hachette
Auteur(s) Pierre Lebrun, Jean-Baptiste Thiers, Jean-Frédéric Bernard
Collection Littératures
Parution 01/02/2021
Nb. de pages 398
Format 15.6 x 23.4
Couverture Broché
Poids 541g
EAN13 9782329578545

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