Théorie de la procédure civile. Tome 7
Pierre Boncenne - Collection Sciences sociales
Résumé
Date de l'édition originale : 1847-1863
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Sommaire
TABLE ANALYTIQUE DES MATIÈRES.
CHAPITRE PREMIER. DE ORGANISATION DES JUSTICES DE PAIX.
Numéros. | Pages. | |
1. | Les justices de village dans l'ancien droit; vices et abus de ces juridictions. | 1 |
2. | Institution et organisation des justices de paix par l'assemblée constituante en 1790. | 5 |
3. | Amovibilité des juges de paix. Aucune condition légale de capacité ne leur est imposée. | 8 |
4. | Importance de l'influence morale du juge de paix. | 10 |
5. | Elle tient à la nature de sa juridiction: il reste médiateur et conciliateur, avec le pouvoir de constater l'accord des parties, même quand il est saisi comme juge. | 11 |
6. | Hésitations de la jurisprudence sur ce point. | 13 |
7. | Le juge de paix peut constater l'accord, même si la contestation portée devant lui excède sa compétence. | 15 |
8. | Le juge de paix saisi de la contestation ne peut constater l'arrangement que lorsqu?il a eu lieu par sa médiation. | 17 |
9. | Importance de ce double rôle de médiateur et de juge dans les procès soumis au juge de paix. | 18 |
10. | Ses jugements échappent au pourvoi en cassation, sauf le cas d?excès de pouvoir. | 19 |
11. | Différences entre l'incompétence et l'excès de pouvoir. | 21 |
12. | Caractères généraux de la juridiction et de la procédure des juges de paix. | 22 |
CHAPITRE II. COMPÉTENCE DES JUGES DE PAIX; PRINCIPES GÉNÉRAUX.
13. | La justice de paix est une juridiction d?exception; - sa compétence est déterminée tantôt par la quotité de la demande, tantôt par sa qualité, tantôt par la réunion de ces deux conditions. | 24 |
14. | Importance pratique de ces distinctions pour reconnaître si l'incompétence du juge de paix peut être couverte. | 26 |
15. | L'incompétence résultant de la quotité n?est pas d?ordre public. - Droit de prorogation. | 27 |
16. | Principes de l'ancienne jurisprudence sur la prorogation. | 28 |
17. | Le droit de prorogation établi par l'article 7 du code de procédure suppose le droit de renoncer à l'incompétence fondée sur la quotité de la demande. | 30 |
18. | Suite. - Observations du tribunat sur l'article 7. | 32 |
19. | Suite. - Rédaction de l'article 7, contraire à ces observations. | 33 |
20. | La prorogation ne peut pas autoriser le juge de paix à juger des causes doeune nature étrangère à sa juridiction. | 35 |
21. | Influence de la prorogation volontaire au point de vue de l'appel et du pourvoi en cassation. | 37 |
22. | Comment doit se manifester la volonté des parties quant à la prorogation? - Nécessité doeune déclaration écrite. | 38 |
23. | L'incompétence a raison de la quotité, quoique n'étant pas d?ordre public, doit être prononcée d?office, si les parties n?ont pas déclaré proroger sa juridiction. | 40 |
24. | Capacité nécessaire pour consentir à la prorogation de juridiction. | 43 |
25. | La prorogation faite par un auteur capable ne lierait pas son successeur incapable. | 44 |
26. | Secùs de la renonciation au droit d?appel. | 45 |
27. | Autre différence, quant à la forme, entre la prorogation et la renonciation au droit d?appel. | 46 |
28. | Différence entre la prorogation de juridiction et le compromis. | 47 |
29. | Différence entre le jugement rendu par suite de prorogation et l'acte par lequel le juge de paix constate la transaction des parties; - moyens d?attaque applicables à l'un et à l'autre. | 47 |
30. | Les juges de paix ne connaissent pas de l'exécution de leurs jugements. | 50 |
31. | Cette prospanbition ne s?entend pas des actes qui tendent à compléter l'instruction ou le jugement définitif. | 53 |
CHAPITRE III. COMPÉTENCE DÉTERMINÉE PAR LA QUOTITÉ.
32. | Compétence du juge de paix sur les actions personnelles ou mobilières. - Taux de cette compétence en premier et en dernier ressort. | 55 |
33. | C?est la compétence de droit commun du juge de paix. | 56 |
34. | Définition des actions personnelles, - des actions mobilières: - elles se confondent dans la pratique. - Les seules demandes immobilières sont exclues par le texte. | 56 |
35. | - I. Actions personnelles et mobilières qui échappent a l'application de la règle générale de compétence. - Demandes commerciales. | 59 |
36. | Le juge de paix ne pourrait connaître des demandes commerciales en vertu du consentement des parties, fût-il exprimé dans la forme doeune prorogation. | 61 |
37. | Compétence du juge de paix quand l'affaire est à la fois civile et commerciale. | 64 |
38. | Autres exceptions à la compétence du juge de paix sur les demandes personnelles ou mobilières; matières administratives, droits dus à l'administration de l'enregistrement, frais dus aux officiers ministériels, actions en dommages-intérêts contre les huissiers, contestation sur l'exécution des jugements ou actes, saisie-arrêt. | 66 |
39. | Quid des demandes en validité ou en nullité d?offres réelles? | 68 |
40. | - II. Influence exercée sur la compétence par les éléments que la défense introduit dans l'instance. | 71 |
41. | En principe, la compétence du juge de paix, dans les limites qui lui sont fixées, s?applique aux obligations, quelle qu?en soit la source. - Application de la règle en ce qui touche les délits. | 72 |
42. | Application de la même règle aux contrats en général. | 74 |
43. | Application spéciale au contrat de bail. | 75 |
44. | Comment la compétence du juge de paix peut disparaître à raison de la direction donnée à la défense. - Moyens de défense, - questions incidentes, - reconvention. | 76 |
45. | Moyens de défense: la contestation du titre dont le montant n?excède pas le taux de la compétence, ne modifie pas cette compétence. | 77 |
46. | Même solution, si le reliquat réclamé en vertu doeun titre constatant une créance supérieure à deux cents francs n?excède pas le taux de la compétence. | 78 |
47. | Secùs, si le titre en vertu duquel la demande n'excédant pas deux cents francs est formée, doit imposer ultérieurement au défendeur qui le conteste, d?autres prestations de la même nature. | 79 |
48. | Interprétation doeun arrêt de la cour de cassation qui pourrait jeter des doutes sur la valeur de cette solution. | 82 |
49. | Résumé: il s?agit de reconnaître sur quelle valeur portera l'autorité de la chose jugée. - Diverses applications du principe. | 85 |
50. | Application particulière au cas où la qualité d?héritier ou de femme commune en biens est incidemment contestée. | 86 |
51. | Le juge de paix peut-il connaître de cette contestation de qualité? - Première objection tirée de l'article 426 du code de procédure. | 87 |
52. | Seconde objection tirée de l'art. 800 du Code Napoléon. - Explication de cet article. - Potspaner: - travaux préparatoires. - Solution: la contestation sur la qualité n?affecte pas la compétence du juge de paix. | 88 |
53. | Quid, si c?est le défendeur qui conteste la qualité-d'héritier que le demandeur s?attribue? Distinction. | 95 |
54. | Questions incidentes. En quoi elles diffèrent des moyens de défense. | 97 |
55. | Tantôt elles sont seulement préjudicielles, tantôt elles emportent dessaisissement absolu du juge. | 98 |
56. | Dans quel cas les questions incidentes sont-elles simplement préjudicielles? - Règle générale. | 99 |
57. | Hypothèses diverses: le faux incident ou la demande en vérification d?écriture ne donnent lieu qu?à un sursis. | 101 |
58. | Il ne faut pas confondre les demandes en reconnaissance avec les demandes en vérification d?écriture. | 103 |
59. | Autre hypothèse de sursis dans le cas de désaveu d'un officier ministériel. | 104 |
60. | Contestation du droit de propriété. | 106 |
61. | Distinctions à faire: la contestation du droit de propriété impose, suivant les cas, tantôt l'obligation de surseoir, tantôt celle de se dessaisir. | 108 |
62. | Suite. - Renvoi au chapitre XI. | 110 |
63. | Demandes reconventionnelles. - Leur caractère. | 111 |
64. | Conditions de recevabilité de la reconvention. - Historique. | 112 |
65. | Demandes en compensation. | 114 |
66. | Différence entre la demande en compensation et la compensation opposée comme moyen de défense. | 115 |
67. | La compétence du juge de paix cesse si la demande reconventionnelle était de telle nature qu?elle ne pourrait lui être soumise par voie principale. | 116 |
68. | Quid, si la demande reconventionnelle, commerciale de sa nature, procède du même contrat que la demande originaire dont le juge de paix est légalement saisi? | 118 |
69. | De la compensation opposée comme moyen de défense. - Peu importe la nature de la créance opposée en compensation. | 119 |
70. | Influence de la demande reconventionnelle au point de vue de la quotité du litige. -Principe de l'évaluation séparée. | 120 |
71. | La compensation, opposée comme défense, n?exerce aucune influence sur la quotité du litige. | 123 |
72. | Faculté du juge de paix de disjoindre la reconvention de la demande originaire, ou de renvoyer pour le tout au tribunal civil. | 124 |
73. | Règles à suivre dans l'exercice de cette faculté. | 126 |
74. | Y a-t-il lieu au renvoi de l'instance entière devant le tribunal civil, lorsque l'incompétence procède, non de la quotité, mais de la nature de la demande reconventionnelle qui serait commerciale? | 129 |
75. | Du cas où le juge de paix a prononcé la disjonction. | 131 |
76. | Disjonction spéciale fondée sur la difficulté de juger en même temps la demande reconventionnelle et la demande principale. | 132 |
CHAPITRE IV. ÉVALUATION DE LA DEMANDE.
77. | La compétence est déterminée par le cspanffre de la demande, non par le montant de la condamnation. | 135 |
78. | Le taux se fixe par la valeur en principal de la demande. - Demandes accessoires: - intérêts, fruits, dommages-intérêts, frais et dépens. | 136 |
79. | La valeur de la demande est fixée provisoirement par la citation, et définitivement par les dernières conclusions. - Réduction. - Augmentation des conclusions primitives. | 141 |
80. | Demandes additionnelles; - leurs conditions de recevabilité; - leur influence sur la compétence. - Hypothèses diverses. | 143 |
81. | Réunion de plusieurs demandes dans la citation elle-même. | 146 |
82. | Quid, si elles rentrent séparément dans la compétence du juge de paix, mais l'excèdent par leur réunion? | 147 |
83. | Faut-il distinguer suivant que les demandes réunies dans la même citation procèdent de la même cause ou de causes différentes? - Discussion de la loi de 1838. | 149 |
84. | Dans quels cas y aurait-il lieu de disjoindre les demandes réunies dont le total excéderait la compétence du juge? | 152 |
85. | Quid, si les demandes réunies rentrant séparément dans la compétence du juge de paix appartiennent à des catégories diverses au point de vue du taux de la compétence? | 154 |
86. | Cas où les demandes réunies proviennent de plusieurs demandeurs. - Les prétentions individuelles de chacun fixent le taux de la compétence. | 157 |
87. | Peu importe qu'ils aient ou non un titre commun. Réfutation doeun arrêt d?Agen et de la distinction qu?il consacre. | 158 |
88. | Demandes formées par des créanciers solidaires. -Convention d?indivision entre les demandeurs; - indivisibilité. | 162 |
89. | Demande formée contre plusieurs défendeurs: division de la demande. - Quid du cas de solidarité passive? | 165 |
90. | Cas de plusieurs défendeurs et de plusieurs demandeurs. | 166 |
91. | Effets divers de l'intervention sur la compétence. | 167 |
92. | Influence des reconnaissances, acquiescements et effets au point de vue de l'évaluation de la demande. | 169 |
93. | Evaluation des demandes en validité ou nullité d?offres. | 173 |
94. | De l'évaluation des demandes ayant un objet autre quoeune somme d?argent: en règle générale, ces demandes sont indéterminées et échappent à la compétence du juge. | 175 |
95. | Evaluation possible pour les denrées dont le prix est fixé par les mercuriales ou les cotes de la Bourse. | 177 |
96. | A quel moment faut-il se reporter pour l'estimation par les mercuriales? | 179 |
97. | Des valeurs indéterminées. | 181 |
98. | De leur détermination par l'estimation des deux parties. | 182 |
99. | L'estimation du demandeur seul est sans effet, à moins qu?il ne laisse au défendeur l'option de se libérer en payant l'évaluation. | 184 |
100. | Le juge peut-il réduire le cspanffre de l'estimation faite dans ce cas par le demandeur? - Distinction. | 188 |
101. | Evaluation de la demande ayant pour objet une obligation alternative. | 190 |
102. | Evaluation de l'obligation avec clause pénale. | 191 |
103. | La demande subsidiaire n?a pas d?influence sur l'évaluation de la demande principale. | 194 |
104. | Evaluation de l'obligation indivisible. | 195 |
CHAPITRE V. COMPÉTENCE A RAISON DE LA MATIÈRE ET DE LA QUOTITÉ.
105. | La compétence du juge de paix, lorsqu'elle n'est pas exclusivement fixée par la quotité, se rattache à l'intérêt public | 199 |
106. | Enumération des demandes pour lesquelles la compétence est déterminée à raison de la matière et de la quotité. - Le juge de paix en connaît jusqu?à 1,500 fr. | 201 |
107. | - I. Contestations entre les hôteliers, aubergistes, logeurs et les voyageurs ou locataires. - Définitions. | 203 |
108. | Dépenses d?hôtellerie. | 205 |
109. | Actions contre les hôteliers, aubergistes ou logeurs, pour perte ou avarie d?effets déposés dans leur auberge. | 206 |
110. | Conditions de leur responsabilité en cas de perte ou vol. | 207 |
111. | Conditions de cette responsabilité en cas d'avarie. | 209 |
112. | - II. Contestations entre les voyageurs et voituriers ou bateliers pour retards, pertes ou avaries. | 210 |
113. | Retards. - Accidents de route. | 210 |
114. | Perte ou avarie d?effets. - Le juge de paix n?est compétent que si les effetsaccompagnent le voyageur. | 211 |
115. | Action du voiturier contre le voyageur pour frais de route. | 213 |
116. | - III. Demandes des carrossiers et autres ouvriers pour fournitures et réparations faites aux voitures de voyage. | 213 |
117. | La compétence du juge de paix, dans ces différents cas, est déterminée par le domicile du défendeur: inconvénients de cette règle; - combinaisons pour y échapper. | 214 |
118. | Difficultés de compétence résultant du caractère commercial de ces contestations. | 217 |
119. | Jurisprudence sur ces difficultés de compétence | 223 |
120. | - IV. Actions résultant du contrat de bail pour lesquelles la compétence est limitée à la somme de 1,500 fr. | 224 |
121. | Renvoi au chapitre suivant. | 226 |
CHAPITRE VI. COMPÉTENCE ILLIMITÉE QUANT A LA QUOTITÉ.
122. | Classification des actions où la compétence du juge de paix est illimitée quant à la quotité. | 229 |
123. | Division de ces actions au point de vue de l'appel. | 231 |
CHAPITRE VII. ACTIONS RÉSULTANT DU CONTRAT DE BAIL.
124. | Caractère du BASF - En quoi il diffère de l'usufruit, du bail à rente foncière, de l'emphytéose, etc. - Les actions naissant de ces divers droitsne sont pas de la compétence du juge de paix. | 234 |
125. | Modalités que peut recevoir le bail. - Elles sont sans influence sur la compétence. | 237 |
126. | Du bail à cheptel et du louage d'ouvrage | 238 |
127. | Principales obligations du bailleur et du preneur. | 239 |
128. | Actions du bailleur contre le preneur. | 240 |
129. | Ces actions, sauf deux cas, ne sont soumises au juge de paix que si le prix principal n'excède pas 400 fr. par an. | 241 |
130. | Comment évaluer le prix du bail, s'il est fait pour moins doeune année? - Quid, si le prix est fixé en bloc pour un espace de temps de plus doeune année? | 242 |
131. | Des cas où il y a plusieurs preneurs pour un prix total supérieur à 400 fr. | 244 |
132. | Quand l'action est dirigée par lebailleur principal contre un sous-locataire, c?est le prix de la sous-location qui fixe la compétence. | 245 |
133. | Que faut-il entendre par le prix principal du bail' | 247 |
134. | Lorsque le prix du bail doit s'estimer d?après les mercuriales, à quel moment faut-il se reporter? - Distinctions. | 248 |
135. | Suite. | 249 |
136. | Suite. | 249 |
137. | Suite. - Résultats bizarres de la loi. | 250 |
138. | Il ne faut pas appliquer ces principes, établis pour l'évaluation du prix du bail, à celle de la demande elle-même. | 252 |
139. | Mode particulier d?évaluation pour les baux à colonage partiaire, ou dont le prix consiste en prestations non appréciables à l'aide des mercuriales. | 252 |
140. | En cas de. désaccord des parties sur le prix doeun bail verbal, le juge de paix doit se déclarer incompétent. | 253 |
141. | Cas où l'existence même du bail est contestée; - cas où le défendeur oppose la nullité du bail ou en conteste seulement l'interprétation. | 255 |
142. | - I. Demandes en payement de loyers et fermages. - Action personnelle et privilége du locateur. | 257 |
143. | Le bailleur principal a une action personnelle contre les sous-locataires. - Désaccord entre l'ancienne et la nouvelle jurisprudence. | 258 |
144. | Action dirigée par le bailleur contre la caution: compétence. | 260 |
145. | L'action en payement suppose que le bailleur n?a pas un titre exécutoire. | 261 |
146. | Règles spéciales pour les baux des biens de l'Etat et des communes. Compétence du juge de paix. | 262 |
147. | - II. Demandes en validité de saisie-gagerie. | 265 |
148. | Caractère et but de la saisie-gagerie. | 266 |
149. | Analogies et différences avec la saisie-arrêt dont le juge de paix ne connaît pas. | 267 |
150. | De la saisie-revendication: le juge de paix n?est pas compétent pour en connaître. | 268 |
151. | Créances garanties parla saisie-gagerie; la compétence du juge de paix ne s?applique qu?à la saisie-gagerie ayant pour objet le payement des fermages. | 269 |
152. | Opinion contraire de M. Curasson. - Exposé des motifs de la loi de 1838. | 272 |
153. | Oppositions formées par les tiers à la saisie-gagerie. | 274 |
154. | La compétence sur ces oppositions ne peut s?exercer qu?autant que leurs causes réunies n?excèdent pas une somme de 200 fr. | 276 |
155. | Suite. - De l'opposition à la saisie-gagerie par voie principale et par voie d?intervention. - Distribution. | 277 |
156. | S?il y a plusieurs opposants, on cumule le montant de leurs créances pour fixer la compétence du juge de paix. - Dérogation aux règles générales. | 279 |
157. | - III. Demandes en résiliation. - Le juge de paix est compétent lorsqu?elles sont fondées sur le seul défaut de payement des fermages. | 281 |
158. | Etendue des pouvoirs des juges de paix dans l'appréciation des moyens de défense. | 282 |
159. | Effets de la résiliation relativement au sous-bail. | 284 |
160. | - IV. Demandes relatives aux congés. - Nature des congés. | 285 |
161. | Cas dans lesquels il n?est pas nécessaire de donner congé pour faire cesser le bail. | 286 |
162. |
Caractéristiques techniques
PAPIER | |
Éditeur(s) | Hachette |
Auteur(s) | Pierre Boncenne |
Collection | Sciences sociales |
Parution | 01/03/2020 |
Nb. de pages | 934 |
Format | 15.6 x 23.4 |
Couverture | Broché |
Poids | 1264g |
EAN13 | 9782329402161 |
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