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Traité des enfants naturels mis en rapport avec la doctrine et la jurisprudence
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Librairie Eyrolles - Paris 5e
Indisponible

Traité des enfants naturels mis en rapport avec la doctrine et la jurisprudence

Traité des enfants naturels mis en rapport avec la doctrine et la jurisprudence

Émile Cadrès - Collection Sciences sociales

488 pages, parution le 01/06/2020

Résumé

Traité des enfants naturels mis en rapport avec la doctrine et la jurisprudence / par M. Émile Cadrès,...
Date de l'édition originale : 1846

Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.
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Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.
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L'auteur - Émile Cadrès

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Sommaire

TABLE DES MATIÈRES.

PROLÉGOMÈNES1

CHAPITRE I.

DES PREUVES DE LA FILIATION DES ENFANTS NATURELS5

SECTION I.

De la preuve résultant de l'acte de naissance.

1. Distinction entre la filiation paternelle et la filiation maternelle.6

1° Filiation paternelle.

2. Il faut que ce soit le père qui se soit déclaré lui-même dans l'acte (art. 334)6
3. La déclaration doit être claire et précise. Exemples de déclarations7
4. L'enfant peut prouver son identité par témoins8
5. Si le registre des actes de naissance est perdu, l'enfant doit prouver que son acte de naissance contenait reconnaissance de sa filiation8

2° Filiation maternelle.

6. Caractère particulier de l'acte de naissance, comme preuve de la filiation maternelle9
7. Du cas où la mère s?est déclarée elle-même dans l'acte 9
8. Lorsque la mère a été déclarée parle père dans l'acte de naissance, son aveu vaut reconnaissance (art. 336) 9
9. La loi ne fixe pas de délai pour cet aveu (art. 336)10
10 Elle ne détermine pas non plus la forme de cet aveu (art. 336) 10

3° Dispositions concernant également la filiation paternelle et la filiation maternelle.

11. La reconnaissance peut être contestée par toute personne qui a intérêt à le faire (art. 339)12
12. Les tribunaux doivent se décider alors d'après les circonstances. Dans le doute, la reconnaissance doit être maintenue (art. 339) 12
13. La reconnaissance peut être contestée malgré la possession d?état de l'enfant (art. 339)13
14. Un mineur peut-il reconnaître un enfant naturel' 13
15. Un acte de naissance peut-il valoir comme commencement de preuve par écrit?14
16. Conséquences qui résultent de la reconnaissance faite pendant le mariage doeun enfant né antérieurement (art. 337) 14

SECTION II.

De la preuve résultant doeun acte de reconnaissance.

17. Division de ce qui fait le sujet de cette section16

Reconnaissance de paternité.

18. La reconnaissance doit être authentique (art. 334) 16
19. Ce qu?il faut entendre par acte authentique 16
20. La reconnaissance dans un testament olographe n?est pas valable. - Quid doeun testament mystique?17
21. La reconnaissance dans un testament authentique est valable. - Quid si le testament est révoqué?18
22. Reconnaissance dans un acte d?envoi en possession des biens doeun absent19
23. Un aveu judiciaire équivaut à un acte authentique 19
24. La reconnaissance dans un acte de baptême n?est pas valable19
25. Reconnaissance dans un écrit sous seing privé reçu dans un dépôt public, ou dont l'écriture et la signature ont été reconnus en justice19
26. Officiers publies compétents pour recevoir les actes de reconnaissance22
27. La reconnaissance peut être faite sur une feuille volante ou sur un registre quelconque24
28. Il n?est pas nécessaire qu?il y ait des témoins, ni qu?on en donne lecture, ni que la profession des parties y soit mentionnée 24
29. Les officiers de l'état civil doivent faire mention des actes de reconnaissance en marge des actes de naissance de l'enfant25
30. Lorsqu?on se fait représenter par un fondé de procuration, cette procuration doit-elle être authentique ou sous seing privé? 25
31. Les juges ont un pouvoir discrétionnaire pour apprécier si l'acte vaut reconnaissance. Exemples28
32. Un mineur peut reconnaître un enfant naturel. Il ne peut attaquer cette reconnaissance que comme pourrait le faire un majeur29
33. Il en est de même de celui qui est soumis à un conseil judiciaire, doeune femme mariée, doeun interdit et doeun mort civilement31
34. On peut reconnaître un enfant, quoiqu?il soit dans le sein de sa mère31
35. Quid de la reconnaissance doeun enfant après sa mort?33
36. Les reconnaissances d?enfants naturels peuvent être contestées par ceux qui y ont intérêt33
37. Peuvent-elles être rétractées?35
38. Prescription des actions en nullité des reconnaissances35
39. L'identité de l'enfant peut être établie par toutes sortes de preuves36
40. Reconnaissance doeun enfant né doeune femme de couleur36

Reconnaissance de maternité.

41. Distinction entre les reconnaissances de paternité et les reconnaissances de maternité36

Disposition commune aux reconnaissances faites par le père et à celles faites par la mère.

42. Explication de l'article 33739

SECTION III.

De la preuve testimoniale.

§ 1. Recherche de paternité.

43. La recherche de paternité est interdite (art. 340)41
44. Il y a exception pour le cas d?enlèvement (art. 340)43
45 La recherche de paternité est interdite même pour demander des aliments46

§ 2. Recherche de maternité.

46. La recherche de maternité est admise46
47. Preuves à faire. - Ce qui peut être prouvé par témoin. (Commentaire de l'article 341.)46
48. De quelle nature doit être le commencement de preuve par écrit dont parle l'article 34152
49. On peut déférer à la femme le serment décisoire54
50. L'article 322 n?est pas applicable aux filiations naturelles58
51. La recherche de maternité est un droit personnel à l'enfant.58
Recherche de maternité en vue de réclamer un droit successif, ou d?exercer le résultat dont parle l'article 76659
Recherche de la maternité en vue de réduction doeun legs ou doeune donation (art. 908)62
52. L'état des enfants naturels est imprescriptible et ne peut pas être la matière doeune transaction (art. 328)67
53. De l'autorité de la chose jugée en matière de filiation naturelle.70
54. La recherche doeune maternité adultérine ou incestueuse n?est pas admise (art. 342)72

§ 3. Dispositions communes à la recherche de la paternité et à celle de la maternité.

55. L'article 327 est applicable aux filiations naturelles72
56. Effets de la reconnaissance judiciaire de la filiation naturelle.73

SECTION IV.

De la possession d?état d?enfant naturel.

57. De la possession d?état en ce qui concerne la paternité74
58. Controverse sur l'effet de la possession d?état en ce qui concerne la maternité75
59. Raisons de douter77
60. Opinion émise par M. Demolombe79

CHAPITRE II.

DE LA PREUVE DE LA FILIATION DES ENFANTS ADULTERINS OU INCESTUEUX.

61. Moralité de la disposition de l'article 335, qui interdit les reconnaissances de filiations adultérines ou incestueuses88
62. Toutes les reconnaissances des enfants adultérins ou incestueux sont nulles89
63. Quid lorsquoeun enfant a été reconnu dans le même acte par deux personnes de sexes différents, dont l'une était mariée?90
64. Quid lorsquoeun enfant a été reconnu dans le même acte par deux personnes parentes au degré auquel le mariage est prospanbé?91
65. Quid si la constatation de la maternité postérieure à celle de la paternité était consacrée par jugement?91
66. On ne peut pas porter le nom de celui dont on n?a pas légalement été reconnu le fils adultérin ou incestueux92
67. La recherche de la paternité ou de la maternité adultérine ou incestueuse est interdite92
68. Cas dans lesquels la filiation adultérine ou incestueuse est réputée constante93
69. La nullité de la reconnaissance doeun enfant adultérin ou incestueux empêche-t-elle cet enfant de demander des aliments à son prétendu père et de recueillir une donation qui lui est faite par ce dernier?96
70. Explication du silence gardé dans l'ouvrage sur plusieurs questions qui ne se rattachent pas nécessairement à son sujet98
71. Pourquoi les femmes mariées n?ont pas besoin de former d?actions en désaveu98
72. Nécessité d?accorder ces actions aux hommes mariés99
73. Cas dans lesquels l'action en désaveu est ouverte. Texte des articles 312 et 313100
74. Renvoi à parler de l'article 314 dans une autre partie de l'ouvrage100
75. Division des divers cas de désaveu101

Désaveu fondé sur l'impossibilité physique de cohabitation pour cause d'éloignement.

76. De l'éloignement dont parle la loi101
77. Ce qu?il faut entendre par impossibilité physique de cohabitation pour cause d?éloignement102
78. L'emprisonnement du mari ne peut être considéré comme constituant l'impossibilité physique de cohabitation104

Désaveu fondé sur l'impossibilité physique de cohabitation pour cause d?accident.

79. De quelle nature doit être l'accident dont parle l'article 312?105

Désaveu fondé sur l'adultère de la femme et le recel de la naissance de l'enfant.

80. Vices de rédaction de l'article 313105
81. Le désaveu fondé sur le recel de la naissance de l'enfant est-il subordonné à la preuve préalable de l'adultère de la femme?107
82. Le mari est-il obligé de faire juger préalablement le recel de la naissance de l'enfant?108
83. Il. n?est pas nécessaire que le mari ait ignoré la naissance de l'enfant, il suffit qu?on la lui ait cachée109
84. Comment se manifeste la dissimulation de la naissance de l'enfant?109
85. Lorsqu?il y a adultère de la femme et recel de la naissance de l'enfant, comment le mari doit-il prouver qu?il n?est pas le père? - Impossibilité morale de cohabitation110
86. Pensée qui a présidé à la rédaction de l'article 313, et rapprochement des deux articles 313 et 325112
87. Lorsque la naissance de l'enfant n?a pas été cachée au mari, l'impossibilité morale de cohabitation ne peut pas être une cause de désaveu, même en cas de séparation de corps113

Désaveu à l'égard de l'enfant dont la filiation légitime n'est pas établie par l'acte de naissance.

88. Esprit de l'article 325. - Conséquence de la disposition qu?il renferme117

Règles générales concernant les actions en désaveu.

89. Par quelle sorte d?acte doit être fait le désaveu121
90. Le désaveu peut être formé par action principale ou comme moyen de défense121
91. Du désaveu par action principale121
92. Du désaveu comme moyen de défense121
93. Le désaveu en défense peut être explicite ou implicite122
94. Lorsque le mari est interdit, l'action en désaveu peut-elle être intentée par son tuteur?123
95. Quid lorsque le mari est absent?125
96. De l'autorité de la chose jugée en matière de désaveu126
97. Délai dans lequel doit être formée l'action en désaveu (art. 316)127
98. De quel moment court le délai lorsque le mari était absent127
99. De quel moment court ce délai lorsque la naissance de l'enfant a été cachée au mari128
100. Quid lorsque l'enfant a été inscrit sous des noms supposés?128
101. Après la mort du mari, l'action en désaveu passe à ses héritiers. Ce qu?il faut entendre par héritiers (art. 317)129
102. Le droit des héritiers de former l'action en désaveu embrasse t-il toutes les causes de désaveu? 129
103. Délai assigné aux héritiers pour qu?ils forment leur action130
104. Ce délai court contre les mineurs130
105. Actes qui troublent les héritiers dans leur jouissance et qui servent de point de départ au délai qui leur est assigné131
106. La simple connaissance qu?ils auraient des prétentions de l'enfant ne ferait pas courir ce délai132
107. Les héritiers peuvent former l'action en désaveu avant qu?ils aient été troublés par l'enfant132
108. Le délai assigné aux héritiers pour leur action en désaveu s?applique-t-il à la contestation de l'état de l'enfant né plus de trois cents jours après la dissolution du mariage?133
109. Le désaveu doit être suivi doeune action dans le mois (art. 318)134
110. La déchéance prononcée contre un des héritiers ne peut être opposée aux autres134
111. Il n?y a pas de déchéance lorsque la mère de l'enfant n?a pas été appelée dans l'instance dans le mois à partir du désaveu.134
112. Le désaveu doit être suivi doeune action dans le mois, quoi qu?il n?ait pas été signifié135
113. Si l'acte de désaveu est nul, ce délai doeun mois ne court pas136
114. Une citation en conciliation peut être cousidérée comme ayant commencé l'instance136
115. L'action en désaveu doit être formée contre un tuteur ad hoc nommé à l'enfant137
116. Comment ce tuteur doit être nommé137
117. Il n?y a pas lieu de nommer un subrogé-tuteur138
118. L'action en désaveu ne peut pas être exercée par les créanciers du mari 138
119. Elle peut l'être par les créanciers des héritiers139
120. Il n?y a pas lieu à désaveu lorsque l'enfant n?est pas né viable139
121. L'enfant dont l'état est contesté a droit à une provision poursuivre le procès139

CHAPITRE III.

DANS QUELS CAS UN ENFANT DOIT ÊTRE RÉPUTÉ NÉ HORS MARIAGE.

122. Difficulté qu?il y a de reconnaître si un enfant est légitime ou naturel142
123. Sur quel point porte précisément la difficulté142
124. Eléments qui servent à la résoudre143
125. Interprétation de l'article 315, controverse, discussion144
126. Comment doit être calculé le délai de la gestation doeune femme156
127. Nature de l'action à intenter lorsqu?on prétend qu'un enfant n?a pas été conçu pendant le mariage156
128. Pendant la contestation, l'enfant a droit à une provision pour aliments et pour suivre le procès157

CHAPITRE IV.

DE LA JOUISSANCE DES DROITS CIVILS.

129. Notionalité de l'enfant naturel reconnu par un Français158
130. Nationalité de l'enfant naturel reconnu par un étranger158
131. Opinion de M. Duranton à cet égard158
1 32. Comment un enfant naturel né en France doeun étranger peut-il devenir Français?159

CHAPITRE V. DES ACTES DE NAISSANCE.

133. Déclaration de la naissance de l'enfant160
134. Rédaction de l'acte de naissance et énonciations qu?il doit contenir161
135. Est-on obligé de déclarer le nom de la mère à l'officier de l'état civil'163
136. Les officiers de l'état civil ne doivent pas contrôler les déclarations qui leur sont faites; ils peuvent seulement s?assurer de l'identité des témoins164
137. Ils ne doivent insérer dans les actes rien de contraire à la loi164
138. Force probante de l'acte de naissance relativement à l'accouchement de la femme165
139. Modèles des actes de naissance165
140. Transcription du jugement de rectification des actes de naissance166

CHAPITRE VI.

DE LA RECTIFICATION DES ACTES DE L'ÉTAT CIVIL.

141. Distinction entre les demandes en rectification d?acte de naissance et les demandes en recherche de maternité ou en réclamation d?état169
142. Procédure à suivre pour les demandes en rectification d?acte de naissance171
143. Comment s?opère la rectification172
144. Les jugements de rectification ne peuvent pas être opposés aux tiers172
145. Les parents collatéraux ont action pour former une demande en rectification172
146. Dans quels cas faut-il procéder par voie d?inscription de faux?173
147. Tribunal compétent pour juger les demandes en rectification174

CHAPITRE VII

DU MARIAGE.

148. Nécessité du consentement du père et de la mère pour le mariage des enfants illégitimes âgés de moins de Vingt-cinq ans175
149. Après cet âge, les enfants doivent faire des actes respectueux176
150. Cas d?absence des père et mère ou du survivant d?eux 176
151. Quid pour les enfants illégitimes qui n'ont pas été reconnus ou qui ont perdu leurs père et mère?177
152. Dispositions communes aux enfants illégitimes et aux enfants légitimes177
153. Prospanbition de mariage en ligne directe et en ligne collatérale178
154. Qu?arrive-t-il lorsque la filiation se révèle par une reconnaissance postérieure au mariage de l'enfant?178
155. Quid lorsque la reconnaissance de l'enfant est nulle?180
156. Peut-on rechercher la paternité ou la maternité naturelle pour s?opposer au mariage de l'enfant?181

CHAPITRE VIII. DES DEMANDES D?ALIMENTS.

157. Les enfants naturels ont une action contre leurs père et mère pour obtenir d?eux des aliments182
158. L'exercice de cette action est toutefois limité par l'article 337186
159. L'obligation de pourvoir aux aliments est réciproque entre les père et mère et leurs enfants naturels188
160. La renonciation à demander des aliments serait nulle188
161. L'enfant naturel n?a pas d?action contre son aïeul pour obtenir de lui des aliments188
162. Une reconnaissance nulle en la forme peut-elle servir de base à une demande d?aliments?189
163. Quid lorsque la reconnaissance contient engagement de fournir des aliments à l'enfant?191
164. On ne peut pas demander la restitution des sommes alimentaires payées en exécution doeune reconnaissance nulle191
165. Renvoi à d?autres parties de l'ouvrage192

CHAPITRE IX. DE L'ADOPTION.

166. État de la question de savoir si un enfant naturel reconnu peut être adopté par son père ou par sa mère?193
167. Texte de l'arrêt de la Cour de Rouen du 14 mai 1838196
168. Texte de l'arrêt de la Cour de cassation du 28 avril 1841204
169. Texte de l'arrêt de la Cour de cassation du 16 mars 1843207
170. Les enfants adultérins ou incestueux ne peuvent pas être adoptés par leurs père ou mère209
171. Lorsque l'adopté ne laisse que des enfants naturels, l'adoptant ou ses descendants peuvent-ils reprendre, dans sa succession, les biens qui lui avaient été donnés par lui, ou qui avaient été recueillis dans sa succession, et qui se retrouvent en nature dans la succession de l'adopté (art. 351)?212

CHAPITRE X. DE LA PUISSANCE PATERNELLE.

172. Source de la puissance paternelle213
173. Dans quels cas elle peut être exercée par la mère213
174. Le droit de correction est plus étendu à l'égard des enfants naturels qu'à l'égard des enfants légitimes214
175. A qui du père ou de la mère appartient ce droit?214
176. De la garde des enfants naturels215
177. Les père et mère naturels n?ont pas loeusufruit des biens de leurs enfants mineu
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Caractéristiques techniques

  PAPIER
Éditeur(s) Hachette
Auteur(s) Émile Cadrès
Collection Sciences sociales
Parution 01/06/2020
Nb. de pages 488
Format 15.6 x 23.4
Couverture Broché
Poids 668g
EAN13 9782329418261

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