Tous nos rayons

Déjà client ? Identifiez-vous

Mot de passe oublié ?

Nouveau client ?

CRÉER VOTRE COMPTE
Traités. du serment, de la loi de médecine, des maladies, des affections
Ajouter à une liste

Librairie Eyrolles - Paris 5e
Indisponible

Traités. du serment, de la loi de médecine, des maladies, des affections

Traités. du serment, de la loi de médecine, des maladies, des affections

Hippocrate, François Christophe Florimond Mercy - Collection Sciences

570 pages, parution le 01/03/2021

Résumé

Traités d'Hippocrate, du serment, de la loi de médecine, des maladies, des affections , traduits en français, et le texte en regard... Par M. le chevalier de Mercy,...
Date de l'édition originale : 1823

Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.
HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.
Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.
Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.
Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.
Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr

L'auteur - Hippocrate

Autres livres de Hippocrate

L'auteur - François Christophe Florimond Mercy

Autres livres de François Christophe Florimond Mercy

Sommaire

TABLE ANALYTIQUE DES MATIÈRES.

DU SERMENT.
Premier Traité d'Hippocrate.
INVOCATION à Apollon, dieu de la Médecine.p. 15
Premier devoir des jeunes gens dans leurs études; la reconnoissance envers leurs maîtres, qu'ils doivent aimer comme leur père; engagement des maîtres envers leurs élèves, qu'ils doivent instruire comme leurs propres fils; conditions sous la teneur du serment auquel s'engagent les médecins par rapport aux malades qui se confient à leur science.
Résolution de garder toujours les égards que les lois et la probité commandent dans l'exercice de l'art; promesse de ne se laisser jamais séduire, et d?être toujours de moeurs chastes et pures; d?avoir tous les égards que l'honneur et la pudeur réclament vis-à-vis des femmes et des esclaves.19
Foi religieuse, sous la teneur du serment, de garder inviolablement les secrets des particuliers et de l'Etat; affrancspanssement des vices, de la séduction et des plaisirs frivoles, pour consacrer tous les momens de la vie à l'honorable profession médicale: tels sont les devoirs dont la stricte observation doit particulièrement inspirer la confiance du public et mériter aux médecins, les honneurs et les récompenses réservés au dévouement, à la fidélité, à l'honneur et à la vertu.

DE LA LOI DE MÉDECINE.

Deuxième Traité d'Hippocrate.

Eloge de l'art médical.p. 29
Pourquoi, aux yeux du vulgaire, a-t-il souvent passé pour moins utile que les autres arts? quelles en sont les causes? le défaut de loi contre les ignorans et les charlatans. Sous quel aspect peut-on considérer les médecins de nom, c'est-à-dire sans instruction? Difficultés de pénétrer de bonne heure dans le sanctuaire de la science; causes qui s'y opposent; moyens de se perfectionner dans l'étude de la médecine.30
Conditions à remplir pour y parvenir. En quoi consiste une bonne éducation médicale? d'abord les longues études et une instruction forte et substantielle; l'amour du travail; le séjour favorable aux études; mais surtout les dons naturels; analogie entre la culture des plantes et leur fructification par un travail assidu, et les progrès des études en médecine.33
Quels sont les indices certains auxquels on reconnoît, en général, la médiocrité et le défaut de talent? - Voyez le traité de l'art, tom. 1er, p. 295.

DES MALADIES.

Troisième Traité d'Hippocrate.

Comment faut-il procéder d'abord, pour pouvoir raisonner avec justesse sur l'art?p. 105
Sous quel aspect la médecine doit-elle être considérée en général' De la manière de discerner ce que l'art est capable d'opérer, ou de ne pas opérer, dans le traitement des maladies; causes des maladies en général'110
Maladies mortelles ou non mortelles; cas graves ou douteux; terminaison ordinaire ou accidentelle; distinction entre les affectctions internes et les lésions externes; quelles sont celles qui doivent être nécessairement mortelles? différences essentielles.113
Maladies aiguës et chroniques; leurs terminaisons; leurs changemens, et les maux qui y succèdent; blessure du cerveau; à quel signe on la distingue de la commotion?117
Quelle sorte dl'altération éprouve l'épiploon sorti du ventre, ou le sang épanché dans la poitrine? Définition de l'occasion en médecine; quelles en sont les espèces et les différences?118
Dans quel cas, celle-ci peut devenir une complication mortelle, ou devenir favorable? considérations à ce sujet; exemples tirés de la pratique médicale; du contretemps de l'occasion; conduite bonne ou mauvaise du médecin, suivant l'occasion.122
Ce qui indique sa science ou son inexpérience. Application à la pratique médicale. Dans quel cas on reconnoît l'habileté du médecin et du cspanrurgien?124
Exactitude de leurs connoissances; ce qui l'indique, ou le contraire. Différences tirées du traitement interne et externe des maladies. Considérations générales, par rapport à l'art médical.126
Solutions spontanées des maladies; quels sont leurs effets les plus remarquables, relatifs à la pratique médicale? par exemple, le trouble d?entrailles, ou le cours de ventre, dans la pleurésie et la péripneumonie;129
Dans l'hydropisie et la leucophlegmatie; effets de la métastase interne ou externe, dans l'érysipèle déclaré.130
Evénemens fortuits indépendans de la volonté ou du savoir des médecins; exemples tirés de la pratique médicale; causes de la bonne ou de la mauvaise fortune; application à la pratique médicale; explication à ce sujet, par les effets des purgatifs ou des vomitifs, quand ils sont heureusement suivis doeune guérison inespérée, ou au contraire, quand il leur succède un événement fatal et tout-à-fait imprévu.133
Ce qui attire injustement des reproches aux médecins. Dans quels cas cette injustice est-elle bien constatée?134
Pourquoi on adresse également aux cspanrurgiens, des reproches non mérités; ce qui e prouve clairement?137
Il n?existe pas originairement un principe universel de guérison, ni au commencement, ni au centre, ni à la fin; à quels signes manifestes se connaît l'habileté du cspanrurgien, dans les opérations?138
Causes générales des empyèmes et des vomiques de la poitrine et du poumon.141
Péripneumonie non guérie, aux jours critiques; ses suites.142
Catarrhe pituitaire de la tête, chez les sujets pituiteux; hémoptisie à la suite de rupture doeune veine, par une cause externe.146
Pronostic pour ou contre la guérison.149
Varice des veines, ou anévrysme des artères, lésion du poumon, du coeur ou des gros vaisseaux, à la suite d?efforts ou de fatigue; moyens de prévenir le danger de la rupture et la suppuration; saignée aux deux bras à la fois, diète absolue, pour que le sujet soit en quelque sorte épuisé de sang, (méthode absolument suivie par Valsava).150
Empyème des parois de la poitrine, à la suite de fluxion catarrhale;153
De pleurésie;153
Ulcération de la plèvre, et phtspansie; autres causes d?empyème; catarrhe bilieux.154
Travaux excessifs du corps; excès de boissons; plaisirs de Vénus, suivis d?hémoptisie; explication directe de la formation de la fluxion suivie d?épanchement de sang et de suppuration; comment se forme loeulcère du poumon et des autres parties?158
Pourquoi il y a nécessairement flux de ventre et colliquation par l'influence de la chaleur et de la fluxion catarrhale vers les intestins; dans quel cas la cautérisation, sur le lieu de l'épanchement du pus, dans loeun des côtés de la poitrine, est un moyen de guérison?161
Empyème considéré comme une affection chronique; temps incertain de la mort ou de la guérison; suppuration interne dans l'interstice des muscles de l'abdomen, ou dans le ventre.162
Dépôt enkysté.165
Erysipèle du poumon.166
Bons effets de la métastase à l'extérieur; mauvais à l'intérieur; sphacèle du poumon.169
Tubercules en suppuration ou vomiques; symptômes particuliers.169
Cause qui entretient la suppuration.170
Se termine souvent par loeulcère et la mort.170
Symptômes de la phtspansie.173
Quand il y a espoir de guérison, par quels moyens naturels ou artificiels peut-on l'espérer par l'évacuation du pus, avant les progrès de la phtspansie? vomiques contenues dans les plèvres, à la suite de dilatation des veines; spasmes et ruptures des chairs ou des muscles.177
Effets de la contusion et de la résolution; explication à ce sujet, relativement à la fluxion et à l'inflammation, suivant ce principe d'Hippocrate: Affluxus humorum, ubi irritatio; cause de la suppuration; épanchement sanguin, non absorbé par les veines internes; effets des spasmes; empyème à la suite des plaies ou blessures contuses de la poitrine.182
Des fatigues, des travaux excessifs, des efforts violens qui rompent la cicatrice interne, d?où résultent l'épanchement sanguin et la suppuration; quand il y a espoir de guérison, ou terminaison fatale, ce qui l'indique?185
Vomissement de sang mortel; dans quel cas? Différences de tempéramens, d?âges, de sexes, par rapport à la facilité ou à la difficulté de la guérison; ou si c?est le contraire, savoir quelle est l'influence de la saison et doeune autre maladie déjà déclarée, et qui est analogue à celle qui lui a succédé?189
Pourquoi les jeunes gens succombent-ils plutôt à la phtspansie que les vieillards?190
Chez ces derniers, les affections de poitrine en général, ne finissent que lentement, et se prolongent souvent jusqu?à la fin de la vie.196
Explication à ce sujet; tonicité plus grande, fièvre plus aiguë, chaleur plus considérable chez les jeunes gens, qui doivent ainsi avoir des affections plus aiguës.197
Symptômes contraires chez les autres sujets, à proportion qu?ils sont plus foibles et plus âgés; tendance absolue aux affections chroniques et aux catarrhes pulmonaires.198
Caractère de la fièvre; ce qui l'indique invariablement chez tous les individus?198
Quelles en sont les causes ordinaires, internes ou externes; qu?est-ce que le frisson, et ses différens degrés?201
Explication à ce sujet; de la rigueur et de l'horripilation; pourquoi la fièvre qui succède, doit-elle être, à proportion, plus ou moins aiguë? (consultez le Traité de l'ancienne Médecine, premier vol., p. 159, §§. 25 et 26).
Des sueurs chaudes ou froides; explication à ce sujet.205
De la pleurésie et de la pneumonie; leurs causes les plus ordinaires.206
Fluxion sur le poumon ou sur la plèvre, causée par le frisson.210
Distinction entre la fluxion de poitrine inflammatoire et la bilieuse; indication de la saignée du bras, du côté où est le siége de la maladie. De la péripneumonie, ou de l'inflammation simultanée du poumon et de la plèvre; ce qui l'indique? On doit craindre l'empyème; ses symptômes.213
De la pleurésie et péripneumonie sèches ou sans expectoration; elles sont les plus violentes; explication à ce sujet; prescription de la saignée du bras et des boissons humectantes.217
De la fièvre ardente, causée par la bile, en été.218
Lorsqu?elle se change en phrénésie ou diaphragmite; en pleurésie, ou péripneumonie; ses symptômes.222
Crachats sanglans, livides; quand ils remplissent totalement le poumon ou la poitrine, c?est l'instant de la mort.225
Des effets funestes de la fièvre ardente.226
De la phrénésie, de la péripneumonie.226
Dessèchement général; refroidissement; insensibilité; mort.

DES AFFECTIONS.

Quatrième traité d?Hippocrate.

Méthode de se traiter soi-même, dans les maladies; sujet de la préface.p. 246
Moyens d?y parvenir par la connoissance des causes morbifiques internes ou externes; des céphalalgies sans fièvre ou migraines.249
Moyens de guérison.250
A quelle époque il faut surtout observer les maladies, pour ordonner les prescriptions convenables.250
Des douleurs d?oreille.253
Des douleurs de gorge; de l'inflammation de la luette; de l'odontalgie, à la suite de fluxion catarrhale.254
Du polype du nez et de son extraction; de sa guérison ou mortification.257
Des affections du ventre et de la poitrine.257
De la pleurésie causée par une fluxion catarrhale; son traitement; quand faut-il craindre la suppuration ou empyème?258
Comment se connoissent les crises et les changemens dans les maladies aiguës?261
De la péripneumonie et de son traitement le plus simple, comme dans la pleurésie.262
Danger de l'empyème, par le défaut d?expectoration.262
De la phrénésie symptomatique; dans quel cas est-elle à craindre, et quel est son traitement?265
Du causus ou fièvre ardente; sa tendance à se changer en péripneumonie.266
Des fièvres et de leur danger en spanver?269
Quelles sont en général les affections les plus difficiles, et qui exigent le traitement le plus exact?269
Des fièvres d?été.270
De leur complication par la bile, et des symptômes propres à cette humeur; leur guérison.273
Des moyens d?y parvenir; quel doit être le régime?273
Des douleurs de ventre, ou des hypochondres et de leur traitement.274
Quand elles sont fixes ou vagues;277
Au-dessus ou au-dessous de l'ombilic;277
Dans tous les membres;278
Des maladies qui dominent en été; fièvres tierces et quartes, et de leur cessation ou guérison; dans quel moment il convient de donner des médicamens?281
Des précautions à prendre; différences de caractères ou de types, par rapport à leur durée.281
Des médicamens fébrifuges; comment ils agissent?282
De la leucophlegmatie à la suite des fièvres mal traitées ou très-longues.285
Quelle est alors la couleur de la peau, et quelle sorte d'altération a lieu par rapport au sang? causes de ce changement285
De l'obstruction de la rate.286
Traitement par les purgatifs ou les vomitifs; quels sont les sujets chez lesquels l'une ou l'autre médication est préférable?289
Dans quel cas la guérison est-elle impossible? explication à ce sujet, par rapport aux médicamens.290
De l'iléus, ou passion iliaque, et de son traitement; quel est le caractère de cette affection?293
De l'hydropisie et de son origine; ses symptômes, sa guérison souvent incomplète; pourquoi?294
Quel est alors l'état du sang; sa décomposition; à la suite de quelles maladies?297
De la paracenthèse et du lieu d'élection.297
Dysenterie; ses causes, son traitement.298
Théorie sur cette affection; des moyens de guérison; lienterie; son caractère.301
Diarrhée; des évacuans et astringens.302
Analogie entre ces maladies.302
Du ténesme.302
Quand est-il suivi de dysenterie? moyens de prévenir cette fâcheuse terminaison302
Cholera morbus; ses causes; comment faut-il procéder à la guérison?306
Strangurie; son origine; son pronostic.310
Sciatique; quelle en est la cause?310
Son traitement.313
Arthritis ou rhumatisme aigu; quelles sont les parties affectées?313
Médication qui convient à cette maladie313
De la podagre ou de la goutte; différences entre cette dernière et l'arthritis ou rhumatisme aigu; cautérisation; quand est-elle indiquée, et sur quelle partie?317
De l'ictère ou jaunisse; sur quel organe la bile se fixe-t-elle? conclusions relatives à l'utilité des premières notions de la médecine; du régime et des médicamens; parmi ces derniers, quels sont les plus dangereux?318
Des maladies externes; des tubercules ou phlegmons; des bubons, des anthrax, des dépôts à la suite de coups, de chutes;des affections cutanées; du choix dans les purgatifs; théorie sur l'action de ces médicamens.322
Des questions que l'on doit faire à un malade? observations préliminaires avant les prescriptions; des lésions externes et du régime des blessés.325
Des résolutifs, des astringens, des émolliens et des corps gras, ou des relâchans; quand sont-ils bons ou mauvais?326
Du choix des alimens, lorsqu'il s'agit de fortifier l'estomac ou de favoriser les selles.329
Du régime qui convient aux fébricitans et à ceux qui doivent être purgés; quelle sorte d'alimens est préférable dans la convalescence?333
Quand l'estomac est affaibli; du régime desséchant ou humectant.334
Du choix des alimens par rapport aux convalescens et aux blessés.337
De leurs préparations.341
De la nature des diverses substances; des moyens de distinguer les alimens lourds ou légers.345
Phénomènes relatifs à la digestion.345
Des vins doux ou âpres, et de l'hydromel.346
Qualités différentes des chairs, suivant leurs préparations; comment les substances les plus salubres deviennent-elles les plus funestes?346
De la méthode des repas et du régime desséchant.349
Du pain bis et blanc; de la farine d?orge et de froment; leurs qualités diverses.350
Phénomènes de la digestion, suivant les alimens foibles ou forts.353
Distinction entre les animaux domestiques ou sauvages, suivant leur genre de vie et la nature du sol.354
Des poissons de mer ou de rivière, de fleuve ou d?étang, et de ceux que l'on nomme saxatils; quels sont les plus légers?354
Du bain et de ses effets.357
Des plantes potagères et de leurs qualités astringentes ou relâchantes; des styptiques ou acides, et des diurétiques.358
Du vin et du miel; du pain et des fruits.361
Des légumes en général, et de leur mélange avec d?autres substances.366
FIN DE LA TABLE.
Voir tout
Replier

Caractéristiques techniques

  PAPIER
Éditeur(s) Hachette
Auteur(s) Hippocrate, François Christophe Florimond Mercy
Collection Sciences
Parution 01/03/2021
Nb. de pages 570
Format 15.6 x 23.4
Couverture Broché
Poids 776g
EAN13 9782329592954

Avantages Eyrolles.com

Livraison à partir de 0,01 en France métropolitaine
Paiement en ligne SÉCURISÉ
Livraison dans le monde
Retour sous 15 jours
+ d'un million et demi de livres disponibles
satisfait ou remboursé
Satisfait ou remboursé
Paiement sécurisé
modes de paiement
Paiement à l'expédition
partout dans le monde
Livraison partout dans le monde
Service clients sav@commande.eyrolles.com
librairie française
Librairie française depuis 1925
Recevez nos newsletters
Vous serez régulièrement informé(e) de toutes nos actualités.
Inscription